L'Actualité littéraire

LE LIVRE DE LE SEMAINE - Christophe Mory revient sur le premier livre d'Axel Auriant, "Rue de la Gaîté" paru aux éditions Fayard. A travers ce roman, Axel Auriant, plonge ses lecteurs dans l'univers des théâtres parisiens dont il est lui même issu. 

LE LIVRE DE LA SEMAINE- Christophe Henning, revient sur le tout dernier livre de François Cheng, "Une nuit au cap de la Chèvre", paru chez Albin Michel. A travers ce roman, l’académicien chinois évoque l’invitation d’une amie qui lui prête sa maison à la pointe sud de la presqu’ile de Crozon, lieu dit au cap de la Chèvre. L'auteur y invite ses lecteurs à la méditation à l'émerveillement, à celle du bruit incessant des vagues, du vide, de la nuit, du vent, du tout. 

LE LIVRE DE LA SEMAINE - 77 800 personnes sont incarcérées en France. Notre système judiciaire compte 10 000 magistrats, 30 000 surveillants de prison, 4 000 conseillers d’insertion et de probation. Et tout le monde s’accorde à dire que notre justice ne fonctionne pas, que les tribunaux sont engorgés, et que faire ? Avec ce nouveau roman, Mathieu Ménégaux, pose la question de la Justice à travers un fait divers auquel nous pourrions nous être confrontés.

Jean-Paul Kauffmann, ex-otage du Hezbollah au Liban, journaliste dans l'âme et écrivain. Il publie un nouveau livre autobiographique, "L'accident" paru aux Equateurs. Il revient sur son enfance, évoque la vie rurale, son père boulanger... Il y raconte surtout l’accident, un événement dramatique qui donne son titre au livre.

La cinéphilie de Jean Echenoz n’est pas à démontrer. Ses romans sont truffés de références, de clins d’œil amusés et gratuits souvent. "Bristol", le titre, est le nom du personnage principal, ne parlons pas de héros car il n’a rien d’un type exceptionnel ni estimable, il n’est rien sinon un cinéaste vivant rue des Eaux dans le XVIème arrondissement de Paris, au 4ème étage. 

Pierre Lemaître nous plonge pour un troisième volet; avec un Avenir Radieux dans l’univers de la famille Pelletier, qui sera soumise à bien des vicissitudes. Le roman qu’on peut lire indépendamment s’ouvre sur la perspective d’un voyage d’affaires à Prague, de l’autre côté du rideau de fer. Il n’en faut pas plus pour Pierre Lemaitre venu du polar pour tisser une intrigue faites d’espions et de secrets d’Etat.

Dans son nouveau roman, Andreï Makine poursuit son exploration de l’âme russe et des illusions politiques. À travers le destin de Lucien Baert, ouvrier français séduit par l’idéal communiste et parti en URSS en 1939, l’auteur raconte une brutale désillusion. Arrêté pour espionnage, torturé, condamné, puis enrôlé dans l’Armée rouge avant d’être envoyé au Goulag, Baert usurpe l’identité d’un mort et devient Matveï Bélov. Son parcours initiatique est marqué par l’amour, la souffrance et la quête de sens.

Sarah Jollien-Fardel, par son ouvrage La Longe, nous plonge dans l'esprit tourmenté d'une jeune femme entravée physiquement, tourmentée par sa folie. Pour échapper à sa condition malheureuse, elle explore son esprit qui bruisse de souvenirs.

"Jean de Saint-Chéron restaure une figure extraordinaire et controversée" écrit l'académicien Jean-Christophe Rufin. Le jeune auteur s'attarde dans son nouveau livre sur le portrait de la sœur Yvonne Beauvais, la religieuse qui a vécu la Passion du Christ.

Christophe Henning revient pour parler de l’actualité littéraire en partenariat avec le quotidien La Croix. Aujourd’hui, il nous proposez de lire Vivre tout bas, de Jeanne Benameur, paru chez Actes Sud, un livre qui offre un regard nouveau sur la Vierge Marie. 

Frédéric Boyer signe avec Si Petite (Gallimard) son 54ᵉ ouvrage, une réflexion poignante sur le mal et sa banalité. Inspiré par un fait divers tragique – l’histoire d’une enfant maltraitée et assassinée – Frédéric Boyer explore, à travers une écriture dense et concise, ce que signifie le mal. 

Christophe Henning évoque, en partenariat avec le quotidien La Croix,  "Les gens sont comme ça", de Philippe Delerm, paru au Seuil.

Cette semaine, Christophe Mory nous invite à découvrir Pierre Adrian, et en particulier son dernier livre "Hotel Roma". L'auteur y enquête sur la mort de Cesar Pavese, auteur italien s'étant suicidé dans l'Hotel Roma. En explorant la mort de l'auteur, Pierre Adrian fait de son livre une leçon de vie.

Christophe Henning en partenariat avec le quotidien La Croix, évoque "Un jardin pour royaume", de Gwenaële Robert, paru aux Presses de la cité.  L'auteure a décidé, après vingt années consacrées à sa famille, de reprendre sa thèse. Elle déploie avec délicatesse la géographie du temps qui passe. Elle fait de la nostalgie l’occasion d’une évocation tendre et poétique. Ce passé qui s’écoule irrigue les pages d’un défi. 

Christophe Henning évoque le deuxième roman de Gaël Faye, couronné par le prix Renaudot. L’écrivain, déjà salué pour Petit pays en 2016, replonge dans la mémoire douloureuse du Rwanda. Jacaranda explore l’exil, la réconciliation et les stigmates d’un passé qui résonne encore aujourd’hui. 

Gérard de Cortanze livre un roman saisissant sur les derniers jours d'Ernest Hemingway. Alors que la santé mentale du prix Nobel est chancelante, le récit explore la relation complexe et dévouée entre Hemingway et sa femme, Mary Welsh. Pour Christophe Mory, c'est une réussite. 

Alors que le Prix Goncourt approche, Christophe Henning nous fait parcourir les pages de "Madelaine avant l’aube", finaliste de la prestigieuse récompense. La vie d’une petite fille sauvage, recueillie par des villageois, dans une époque rude et intemporelle. Le livre de Sandrine Collette tient du conte et de la légende, du roman du Moyen Age et de l’histoire universelle.

La Maison Dieu, paru cet automne chez Albin Michel, est le troisième roman de Céline Laurans. Elle avait obtenu le Prix Roger Nimier pour Là où la caravane passe, puis avait écrit Sous un ciel de faïence. Avec la Maison Dieu, elle signe un remarquable roman riche en humanité.

 Aujourd’hui, nous vous proposons de lire "Il y a encore de la lumière sous mon chapeau" de Jean-Louis Fournier, paru aux éditions Buchet-Chastel.  "Plus c'est vieux, plus c'est mieux" affirme Jean-Louis Fournier. On retrouve dans cet ouvrage, un regard décalé et souriant sur le monde.