
Le Saint du Jour RCF - page 2
La liste est longue de ceux que l'Église a distingués pour leur foi ! Ils nous accompagnent chaque jour de l'année grâce au calendrier des saints. Et chaque jour, on nous apprend qui sont ces hommes et ces femmes dont la vie est citée en exemple.
Les chroniques Le Saint du jour ont été écrites par Bénédicte Draillard.
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Née en Autriche en 1865, au sein d'une famille aristocratique polonaise, Ursule Ledóchowska choisit de devenir religieuse à Cracovie, alors que la Pologne était annexée. elle créa un ordre religieux, les Ursulines du Cœur de Jésus. Puis elle partit fonder une nouvelle communauté à Saint-Pétersbourg, dans une quasi clandestinité. Elle se réfugia avec ses sœurs en Suède quand la guerre éclata en 1914, et déménagea au Danemark, où elle ouvrit une maison pour les enfants des immigrés polonais. Appelée à Rome par le pape Pie XI, elle y établit sa jeune congrégation.

Au VIe siècle, alors que le pays des Francs était peu évangélisé, le roi Childebert, fils de Clovis et de sainte Clotilde, se prit d'amitié pour Germain. Un moine qu'il nomma évêque de Paris. Devenu conseiller du roi, Germain resta auprès des pauvres, des prisonniers et des malades et conserva son mode de vie monastique. Il opéra, dit-on, de nombreux miracles. À la demande du roi, il fonda en dehors de Paris une abbaye pour abriter des reliques rapportées d'Espagne. Ainsi naquit en 543 l'abbaye Saint-Vincent-Sainte-Croix, qui deviendra l'abbaye Saint-Germain-des-Prés.

Au VIe siècle, le moine Augustin fut envoyé par le pape Grégoire le Grand pour convertir les Anglo-Saxons. En moins de six moins, il fit construire une cathédrale ainsi qu'un monastère à Cantorbéry, et baptisa aussi le roi saxon. Cantorbéry devint le siège de l'archevêque primat d'Angleterre et un grand centre de pèlerinage.

Originaire de Florence, saint Philippe Néri choisit de s'occuper des jeunes en difficulté, très nombreux à Rome au XVIe siècle. Sa méthode était le rire, le jeu, l'art, la conversation, la douceur et surtout sa présence, tout simplement. Bientôt, ses plaisanteries se racontèrent dans toute la ville. Ordonné prêtre à trente-six ans, il se consacra à l'accompagnement spirituel et à la confession. Il resta discret sur sa vie mystique, pourtant très intense. Il passait ses nuits en prière et en extase, selon plusieurs témoins. Il est le fondateur de la congrégation de l'Oratoire.

Madeleine-Sophie Barat (1779-1865) est la fondatrice de l'ordre des religieuses du Sacré-Cœur de Jésus. Originaire de Bourgogne, elle était une femme très cultivée pour son époque. À Paris, où elle vint pour parfaire son éducation, elle fit une rencontre décisive avec le Père Joseph Varin, qui travaillait au rétablissement de la Compagnie de Jésus. Avec son aide, elle créa en 1800 un institut voué à l'éducation chrétienne des jeunes filles. De santé fragile, elle ne ménagea pas sa peine. Sa châsse se trouve à Paris, dans l'église Saint-François-Xavier.

Saints Donatien et Rogatien sont deux frères morts martyrs au IVe siècle à Nantes, sous l'empereur Maximin. Fils d'un haut magistrat de la cité, l'un était baptisé et l'autre encore catéchumène quand ils ont été arrêtés. Ils moururent ensemble, décapités en 304.

À l'époque mérovingienne, saint Didier fut évêque de Vienne, dans le Dauphiné. Homme d'une grande droiture, il n'eut pas peur d'admonester la reine Brunehaut. Il lui reprocha d'avoir séduit son neveu afin de l'épouser. Autoritaire et manipulatrice, celle-ci fit accuser Didier. Et alla jusqu'à commanditer son exécution en 307.

Sainte Rita est la patronne des causes désespérées, ce qui en a fait une sainte très populaire ! La vie de sainte Rita de Cascia fut jonchée d'épreuves mais elle sut rester debout malgré un mari violent, la mort de ses enfants et plus tard les vexations de la mère supérieure de son couvent... Née en Ombrie, au cœur de l'Italie, Sainte Rita de Cascia (1381-1457) reçut les stigmates de la Passion du Christ.

Pour les Orientaux, saint Constantin est l'égal des apôtres car c'est lui qui mit fin aux persécutions des chrétiens en 313. Empereur de Rome et fin politique, il promulgua un édit de tolérance, l'édit de Milan, qui érigea toutes les religions au même niveau. En 325, il présida à Nicée le premier concile œcuménique. En 330, il fit de Constantinople, une ville nouvelle à qui il donna son nom, la capitale chrétienne de l'Empire.

Saint Bernardin de Sienne est un franciscain italien du XVe siècle, considéré comme le plus grand prédicateur de son temps. De petite taille, de santé fragile, il prêchait sur les place publiques d'une voix forte et de façon concrète et directe. Il évangélisait avec feu et convertissait les cœurs. Sa vie morale, sa vie sociale et sa vie mystique étaient indissociables.

Au XIIIe siècle, Yves Hélory de Kermartin est le fils d'une chevalier breton. Orphelin très jeune, très doué, il étudie les arts, la théologie et le droit. Devenu official, c'est-à-dire président du tribunal ecclésiastique, il parcourt les campagnes bretonnes. Appelé "le prêtre saint", il est connu pour son équité.

Saint Éric fut un roi de Suède du XIIe siècle, mal connu. Il évangélisa la Finlande encore païenne et mourut le 18 mai 1160 alors qu'il assistait à la messe, tué par un prince danois. C'est l'un des saints patrons de la Suède.

Né le jour de Pâques 1540, dans une famille modeste d'Aragon, en Espagne, le jeune Pascal Baylon désirait entrer dans les ordres. Peu instruit, il s'est vu refuser l'entrée de tous les couvents de sa région. Il décida alors de vivre non loin d'un couvent franciscain dans une région déserte pour y garder des troupeaux de moutons. Et dès que la cloche du monastère sonnait, il s'associait spirituellement aux offices. Très vite, sa réputation de sainteté se répandit. Et surtout celle de thaumaturge, c'est-à-dire capable de faire des miracles.

Saint Honoré est, depuis le XVe siècle, patron des boulangers-pâtissiers. Et c'est en 1850 que l'on donna son nom à un délicieux gâteau ! On connaît très peu de choses sur ce saint, si ce n'est qu'il fut évêque d'Amiens et qu'il est mort en l'an 600.

Saint Michel Garicoïts est originaire de Bétharram, dans les Pyrénées-Atlantiques. Bien avant Lourdes, ce village était un haut lieu de pèlerinage marial où Bernadette Soubirous aimait venir prier. Michel Garicoïts (1797-1863) y fonda des écoles et aussi la congrégation des Prêtres auxiliaires du Sacré-Cœur de Jésus. Aujourd'hui encore, le sanctuaire marial de Bétharram est un lieu de prière au cœur de la nature et loin de la foule.

Saint Matthias est l'un des douze apôtres. C'est lui qui remplaça Judas après sa mort. La façon dont il fut choisi est originale. Elle est décrite dans le Livre des Actes des Apôtres, dans le chapitre 1 (versets 16 à 22). Selon la tradition, saint Matthias prêcha la bonne nouvelle de la Résurrection en Judée puis en Éthiopie. Ses reliques, rapportées par sainte Hélène, la mère de l'empereur Constantin, auraient été dispersées à Trèves, Cologne, Padoue, Prague, et dans la basilique Sainte-Marie-Majeure à Rome.

Le 13 mai 1917, la Vierge Marie est apparue à trois petits bergers du village de Fatima, au Portugal. Lucie, 10 ans, Francesco, 9 ans, et Jacinthe, 7 ans, ont raconté qu'une dame les avait invités à prier pour la paix et pour les pêcheurs. Elle leur aurait aussi annoncé une guerre encore plus meurtrière que celle en cours, ainsi que la révolution d'octobre en Russie. Son dernier message, longtemps resté secret, évoquait un homme vêtu de blanc tué par balles. Et c'est un 13 mai, en 1981, que le pape Jean-Paul II a été victime d'un attentat...

La tradition voit en saint Pancrace de Rome un adolescent de quatorze ans mis à mort pour sa foi sous Dioclétien, au même âge et à la même époque que sainte Agnès. Selon "La Légende dorée", il serait né dans une riche famille de Phrygie, dans l'ouest de l'actuelle Turquie. C'est à Rome qu'il se serait converti au christianisme.

Selon "La Légende dorée", sainte Estelle aurait vécu à Saintes (dans l'actuel département de Charente-Maritime) au Ier siècle de notre ère. Comme elle s'obstinait dans sa foi et refusait tous les prétendants, son propre père la fit mettre à mort dans les arènes de la ville, où elle mourut martyr.

L'histoire de sainte Solange est celle d'une petite bergère, humble fille du Berry, qui refusa d'épouser le fils du comte de Poitiers car elle voulait se consacrer à Dieu. L'amant éconduit coupa la tête de Solange. Selon "La Légende dorée", celle-ci, décapitée, a pris sa tête dans ses mains et l'a portée jusqu'à l'église Saint-Martin ! Elle vécut au IXe siècle et, depuis lors, Solange est la patronne du Berry.

Sainte Ursule Ledóchowska
Née en Autriche en 1865, au sein d'une famille aristocratique polonaise, Ursule Ledóchowska choisit de devenir religieuse à Cracovie, alors que la Pologne était annexée. elle créa un ordre religieux, les Ursulines du Cœur de Jésus. Puis elle partit fonder une nouvelle communauté à Saint-Pétersbourg, dans une quasi clandestinité. Elle se réfugia avec ses sœurs en Suède quand la guerre éclata en 1914, et déménagea au Danemark, où elle ouvrit une maison pour les enfants des immigrés polonais. Appelée à Rome par le pape Pie XI, elle y établit sa jeune congrégation.

Saint Germain de Paris
Au VIe siècle, alors que le pays des Francs était peu évangélisé, le roi Childebert, fils de Clovis et de sainte Clotilde, se prit d'amitié pour Germain. Un moine qu'il nomma évêque de Paris. Devenu conseiller du roi, Germain resta auprès des pauvres, des prisonniers et des malades et conserva son mode de vie monastique. Il opéra, dit-on, de nombreux miracles. À la demande du roi, il fonda en dehors de Paris une abbaye pour abriter des reliques rapportées d'Espagne. Ainsi naquit en 543 l'abbaye Saint-Vincent-Sainte-Croix, qui deviendra l'abbaye Saint-Germain-des-Prés.

Saint Augustin de Cantorbéry
Au VIe siècle, le moine Augustin fut envoyé par le pape Grégoire le Grand pour convertir les Anglo-Saxons. En moins de six moins, il fit construire une cathédrale ainsi qu'un monastère à Cantorbéry, et baptisa aussi le roi saxon. Cantorbéry devint le siège de l'archevêque primat d'Angleterre et un grand centre de pèlerinage.

Saint Philippe Néri
Originaire de Florence, saint Philippe Néri choisit de s'occuper des jeunes en difficulté, très nombreux à Rome au XVIe siècle. Sa méthode était le rire, le jeu, l'art, la conversation, la douceur et surtout sa présence, tout simplement. Bientôt, ses plaisanteries se racontèrent dans toute la ville. Ordonné prêtre à trente-six ans, il se consacra à l'accompagnement spirituel et à la confession. Il resta discret sur sa vie mystique, pourtant très intense. Il passait ses nuits en prière et en extase, selon plusieurs témoins. Il est le fondateur de la congrégation de l'Oratoire.

Sainte Madeleine-Sophie Barat
Madeleine-Sophie Barat (1779-1865) est la fondatrice de l'ordre des religieuses du Sacré-Cœur de Jésus. Originaire de Bourgogne, elle était une femme très cultivée pour son époque. À Paris, où elle vint pour parfaire son éducation, elle fit une rencontre décisive avec le Père Joseph Varin, qui travaillait au rétablissement de la Compagnie de Jésus. Avec son aide, elle créa en 1800 un institut voué à l'éducation chrétienne des jeunes filles. De santé fragile, elle ne ménagea pas sa peine. Sa châsse se trouve à Paris, dans l'église Saint-François-Xavier.

Saints Donatien et Rogatien de Nantes
Saints Donatien et Rogatien sont deux frères morts martyrs au IVe siècle à Nantes, sous l'empereur Maximin. Fils d'un haut magistrat de la cité, l'un était baptisé et l'autre encore catéchumène quand ils ont été arrêtés. Ils moururent ensemble, décapités en 304.

Saint Didier de Vienne
À l'époque mérovingienne, saint Didier fut évêque de Vienne, dans le Dauphiné. Homme d'une grande droiture, il n'eut pas peur d'admonester la reine Brunehaut. Il lui reprocha d'avoir séduit son neveu afin de l'épouser. Autoritaire et manipulatrice, celle-ci fit accuser Didier. Et alla jusqu'à commanditer son exécution en 307.

Sainte Rita de Cascia
Sainte Rita est la patronne des causes désespérées, ce qui en a fait une sainte très populaire ! La vie de sainte Rita de Cascia fut jonchée d'épreuves mais elle sut rester debout malgré un mari violent, la mort de ses enfants et plus tard les vexations de la mère supérieure de son couvent... Née en Ombrie, au cœur de l'Italie, Sainte Rita de Cascia (1381-1457) reçut les stigmates de la Passion du Christ.

Saint Constantin
Pour les Orientaux, saint Constantin est l'égal des apôtres car c'est lui qui mit fin aux persécutions des chrétiens en 313. Empereur de Rome et fin politique, il promulgua un édit de tolérance, l'édit de Milan, qui érigea toutes les religions au même niveau. En 325, il présida à Nicée le premier concile œcuménique. En 330, il fit de Constantinople, une ville nouvelle à qui il donna son nom, la capitale chrétienne de l'Empire.

Saint Bernardin de Sienne
Saint Bernardin de Sienne est un franciscain italien du XVe siècle, considéré comme le plus grand prédicateur de son temps. De petite taille, de santé fragile, il prêchait sur les place publiques d'une voix forte et de façon concrète et directe. Il évangélisait avec feu et convertissait les cœurs. Sa vie morale, sa vie sociale et sa vie mystique étaient indissociables.

Saint Yves Hélory de Kermartin
Au XIIIe siècle, Yves Hélory de Kermartin est le fils d'une chevalier breton. Orphelin très jeune, très doué, il étudie les arts, la théologie et le droit. Devenu official, c'est-à-dire président du tribunal ecclésiastique, il parcourt les campagnes bretonnes. Appelé "le prêtre saint", il est connu pour son équité.

Saint Éric de Suède
Saint Éric fut un roi de Suède du XIIe siècle, mal connu. Il évangélisa la Finlande encore païenne et mourut le 18 mai 1160 alors qu'il assistait à la messe, tué par un prince danois. C'est l'un des saints patrons de la Suède.

Saint Pascal Baylon
Né le jour de Pâques 1540, dans une famille modeste d'Aragon, en Espagne, le jeune Pascal Baylon désirait entrer dans les ordres. Peu instruit, il s'est vu refuser l'entrée de tous les couvents de sa région. Il décida alors de vivre non loin d'un couvent franciscain dans une région déserte pour y garder des troupeaux de moutons. Et dès que la cloche du monastère sonnait, il s'associait spirituellement aux offices. Très vite, sa réputation de sainteté se répandit. Et surtout celle de thaumaturge, c'est-à-dire capable de faire des miracles.

Saint Honoré d'Amiens
Saint Honoré est, depuis le XVe siècle, patron des boulangers-pâtissiers. Et c'est en 1850 que l'on donna son nom à un délicieux gâteau ! On connaît très peu de choses sur ce saint, si ce n'est qu'il fut évêque d'Amiens et qu'il est mort en l'an 600.

Saint Michel Garicoïts de Bétharram
Saint Michel Garicoïts est originaire de Bétharram, dans les Pyrénées-Atlantiques. Bien avant Lourdes, ce village était un haut lieu de pèlerinage marial où Bernadette Soubirous aimait venir prier. Michel Garicoïts (1797-1863) y fonda des écoles et aussi la congrégation des Prêtres auxiliaires du Sacré-Cœur de Jésus. Aujourd'hui encore, le sanctuaire marial de Bétharram est un lieu de prière au cœur de la nature et loin de la foule.

Saint Matthias
Saint Matthias est l'un des douze apôtres. C'est lui qui remplaça Judas après sa mort. La façon dont il fut choisi est originale. Elle est décrite dans le Livre des Actes des Apôtres, dans le chapitre 1 (versets 16 à 22). Selon la tradition, saint Matthias prêcha la bonne nouvelle de la Résurrection en Judée puis en Éthiopie. Ses reliques, rapportées par sainte Hélène, la mère de l'empereur Constantin, auraient été dispersées à Trèves, Cologne, Padoue, Prague, et dans la basilique Sainte-Marie-Majeure à Rome.

Fête de Notre-Dame de Fatima
Le 13 mai 1917, la Vierge Marie est apparue à trois petits bergers du village de Fatima, au Portugal. Lucie, 10 ans, Francesco, 9 ans, et Jacinthe, 7 ans, ont raconté qu'une dame les avait invités à prier pour la paix et pour les pêcheurs. Elle leur aurait aussi annoncé une guerre encore plus meurtrière que celle en cours, ainsi que la révolution d'octobre en Russie. Son dernier message, longtemps resté secret, évoquait un homme vêtu de blanc tué par balles. Et c'est un 13 mai, en 1981, que le pape Jean-Paul II a été victime d'un attentat...

Saint Pancrace
La tradition voit en saint Pancrace de Rome un adolescent de quatorze ans mis à mort pour sa foi sous Dioclétien, au même âge et à la même époque que sainte Agnès. Selon "La Légende dorée", il serait né dans une riche famille de Phrygie, dans l'ouest de l'actuelle Turquie. C'est à Rome qu'il se serait converti au christianisme.

Sainte Estelle
Selon "La Légende dorée", sainte Estelle aurait vécu à Saintes (dans l'actuel département de Charente-Maritime) au Ier siècle de notre ère. Comme elle s'obstinait dans sa foi et refusait tous les prétendants, son propre père la fit mettre à mort dans les arènes de la ville, où elle mourut martyr.

Sainte Solange de Bourges
L'histoire de sainte Solange est celle d'une petite bergère, humble fille du Berry, qui refusa d'épouser le fils du comte de Poitiers car elle voulait se consacrer à Dieu. L'amant éconduit coupa la tête de Solange. Selon "La Légende dorée", celle-ci, décapitée, a pris sa tête dans ses mains et l'a portée jusqu'à l'église Saint-Martin ! Elle vécut au IXe siècle et, depuis lors, Solange est la patronne du Berry.
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