Votre émission littéraire sur RCF Finistère. Partez en voyage, évadez-vous ! Geoffroy sera votre capitaine de bord.
Continuons à parcourir les chemins de la philosophie avec Pierre Magnard ! Aujourd'hui, posons-nous la question du transhumanisme : qu'en penser au regard de la philosophie et éclairés par notre foi chrétienne ?
Continuons à parcourir les chemins de la philosophie avec Pierre Magnard ! Aujourd'hui, posons-nous la question du transhumanisme : qu'en penser au regard de la philosophie et éclairés par notre foi chrétienne ?
Esprit de la nation, sens de la terre... Pour éviter les égarements, les faux et contre sens, partons sur les chemins de la philosophie avec Pierre Magnard racontant l'enseignement reçu auprès de Gustave Thibon dans son vignoble du terroir ardéchois.
Paris, novembre 1929 : les «Années folles» s'achèvent. Dans sa chambre d'une maison de désintoxication, un jeune homme se tire une balle dans le cœur. C'est Jacques Rigaut ; le plus beau, le plus radical des dadaïstes. Ce non-conformiste absolu avait prévenu : «Essayez, si vous le pouvez, d'arrêter un homme qui voyage avec son suicide à la boutonnière.» Tous ses amis écrivent, photographient, tournent des films : ils s'appellent René Clair, André Breton, Paul Éluard, Pierre Drieu la Rochelle, Man Ray ou Tristan Tzara. Lui, en dandy désinvolte, ne laisse que quelques fragments et des dettes. Après son mariage avec Gladys Barber, une riche héritière américaine, il vit quelque temps à New York. C'est en passant à travers un miroir, dans une villa de Long Island, qu'il fait la connaissance de son double littéraire : Lord Patchogue.
De retour à Paris, brisé, Rigaut se perd dans les nuits du Bœuf sur le toit, la drogue, l'alcool et les femmes. Personne ne parvient à sauver le fondateur de l'«Agence générale du suicide». Des années plus tard, André Breton lui rend hommage dans son Anthologie de l'humour noir. Mais c 'est surtout Drieu la Rochelle et Louis Malle qui le font entrer dans la légende : Le Feu follet, c'est lui. Rigaut n'est pas mort ; il hante toujours les avant-gardes et la contre-culture des deux côtés de l'Atlantique.
À ce « suicidé magnifique » disparu à l'âge de 30 ans, dont Gallimard a publié les rares Écrits en 1970, Jean-Luc Bitton consacre pour la première fois une biographie monumentale. Fruit de quinze années de recherche, illustrée de nombreuses photographies et de documents inédits, cette somme se lit comme le grand roman des «Années folles» et de la «génération perdue».
Paris, novembre 1929 : les «Années folles» s'achèvent. Dans sa chambre d'une maison de désintoxication, un jeune homme se tire une balle dans le cœur. C'est Jacques Rigaut ; le plus beau, le plus radical des dadaïstes. Ce non-conformiste absolu avait prévenu : «Essayez, si vous le pouvez, d'arrêter un homme qui voyage avec son suicide à la boutonnière.» Tous ses amis écrivent, photographient, tournent des films : ils s'appellent René Clair, André Breton, Paul Éluard, Pierre Drieu la Rochelle, Man Ray ou Tristan Tzara. Lui, en dandy désinvolte, ne laisse que quelques fragments et des dettes. Après son mariage avec Gladys Barber, une riche héritière américaine, il vit quelque temps à New York. C'est en passant à travers un miroir, dans une villa de Long Island, qu'il fait la connaissance de son double littéraire : Lord Patchogue.
De retour à Paris, brisé, Rigaut se perd dans les nuits du Bœuf sur le toit, la drogue, l'alcool et les femmes. Personne ne parvient à sauver le fondateur de l'«Agence générale du suicide». Des années plus tard, André Breton lui rend hommage dans son Anthologie de l'humour noir. Mais c 'est surtout Drieu la Rochelle et Louis Malle qui le font entrer dans la légende : Le Feu follet, c'est lui. Rigaut n'est pas mort ; il hante toujours les avant-gardes et la contre-culture des deux côtés de l'Atlantique.
À ce «suicidé magnifique» disparu à l'âge de 30 ans, dont Gallimard a publié les rares Écrits en 1970, Jean-Luc Bitton consacre pour la première fois une biographie monumentale. Fruit de quinze années de recherche, illustrée de nombreuses photographies et de documents inédits, cette somme se lit comme le grand roman des «Années folles» et de la «génération perdue».
Poursuivons notre échange avec Julien Hervier au sujet des écrits de Drieu à l'occasion de la parution des carnets inédits jusque-là de cet auteur. Fruit d'un travail de recherches, d'accès aux manuscrits détenus par la famille, ces inédits sont désormais accessibles : comment peuvent-ils nous aider à mieux comprendre cet auteur mais aussi son époque contrastée, et partant, la nôtre aujourd'hui ?
Ouvrons une parenthèse en partant pour un voyage en musique avec Adèle Lorenzi, chanteuse lyrique. Après une formation au CNSMD de Lyon, Adèle Lorenzi participe à de nombreux projets extrêmement diversifiés : elle joue Flaminio dans l’opéra Il Flaminio de Pergolese, incarne Blanche de la force dans une mise en scène du Dialogues des Carmélites de Mireille Delunsch, interprète le Pierrot Lunaire, chante le rôle de Suzanne dans les Noces de Figaro, est soliste dans la 4ème symphonie de Mahler avec la Chambre Symphonique (https://www.lachambresymphonique.fr/) , chante pour la création de l’oratorio Christophe Guyard « Venez, esprits des marais » aux musicales de Redon... Aujourd'hui, elle continue sa formation en master d'opéra à Berlin. Rencontre !
Aujourd'hui, rencontrons Paul Veyne, professeur émérite du Collège de France, expert de la Rome antique, au sujet notamment de son livre publié en 2015 sur Palmyre.
« Ayant eu pour métier l'étude de l'Antiquité gréco-romaine, je n'ai cessé de rencontrer Palmyre sur mon chemin professionnel. Avec la destruction de Palmyre par l'organisation terroriste Daech, tout un pan de notre culture et mon sujet d'étude viennent brutalement de voler en éclats. Malgré mon âge avancé, c'était mon devoir d'ancien professeur et d'être humain de dire ma stupéfaction devant ce saccage incompréhensible et d'esquisser un portrait de ce que fut la splendeur de Palmyre qu'on ne peut plus désormais connaître qu'à travers les livres. »
Aujourd'hui, rencontrons Paul Veyne, professeur émérite du Collège de France, expert de la Rome antique, au sujet notamment de son livre publié en 2015 sur Palmyre.
« Ayant eu pour métier l'étude de l'Antiquité gréco-romaine, je n'ai cessé de rencontrer Palmyre sur mon chemin professionnel. Avec la destruction de Palmyre par l'organisation terroriste Daech, tout un pan de notre culture et mon sujet d'étude viennent brutalement de voler en éclats. Malgré mon âge avancé, c'était mon devoir d'ancien professeur et d'être humain de dire ma stupéfaction devant ce saccage incompréhensible et d'esquisser un portrait de ce que fut la splendeur de Palmyre qu'on ne peut plus désormais connaître qu'à travers les livres. »
Cette semaine, partons en voyage... chez nous en Finistère, plus précisément à Quimper pour y rencontrer l'archiprêtre curé-recteur de la basilique-cathédrale Saint-Corentin : le père Claude Caill, originaire de Plouzevédé ! Une vie, là encore, donnée au service du Christ à travers diverses fonctions, divers clochers autour de la cathédrale finistérienne.... rencontre !
Aujourd'hui, partons en voyage avec Brigitte Cordelle qui, de sa galerie-librairie Antinoë (https://antinoe.fr/) spécialisée en archéologie et beaux-arts, 30 rue Emile Zola à Brest, nous fera découvrir l'assyriologie, l'égyptologie, et plus proche de nous la littérature médiévale du Merveille-âge !
Suite à la lecture d'Ultra-Graal, allons plus loin en en parlant avec l'auteur, Bertrand Lacarelle ! Comment les chevaliers partis à la quête du Graal, cette formidable aventure spirituelle, mais aussi des poètes ou des auteurs comme Jacques Vaché, Arthur Cravan, Stanislas Rodanski ou Jacques Rigault, peuvent-ils nous aider à comprendre et percevoir le monde avec lucidité ?
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