Votre émission littéraire sur RCF Finistère. Partez en voyage, évadez-vous ! Geoffroy sera votre capitaine de bord.
Suite et fin de notre voyage philosophique avec une rencontre d'exception. Né le 7 octobre 1921, un des deux penseurs centenaires en France avec Edgar Morin, écoutons ce que le philosophe André Jacob a à nous dire de ses travaux sur le langage qui fut l'objet de sa thèse de doctorat en 1967, intitulé Temps et langage : essai sur les structures du sujet parlant. Professeur d'éthique et de philosophie du langage à l'Université de Paris X-Nanterre de 1966 à 1990, il a notamment dirigé la rédaction de l'Encyclopédie philosophique universelle. Rencontrons donc cet homme qui nous invite à prêter attention à la langue et à nous poser des questions par la philosophie.
Suite de notre voyage philosophique avec une rencontre d'exception. Né le 7 octobre 1921, un des deux penseurs centenaires en France avec Edgar Morin, écoutons ce que le philosophe André Jacob a à nous dire de ses travaux sur le langage qui fut l'objet de sa thèse de doctorat en 1967, intitulé Temps et langage : essai sur les structures du sujet parlant. Professeur d'éthique et de philosophie du langage à l'Université de Paris X-Nanterre de 1966 à 1990, il a notamment dirigé la rédaction de l'Encyclopédie philosophique universelle. Rencontrons donc cet homme qui nous invite à prêter attention à la langue et à nous poser des questions par la philosophie.
Aujourd'hui dans Voyages en récits, attachés à la lecture et donc au livre, intéressons-nous à la reliure et au soin apporté à cet objet multi-séculaire et découvrons le métier de relieur-restaurateur au Moulin de Keréon à Saint-Sauveur où nous avons pu rencontrer Dominique Doyart.
https://moulindekereon.fr/restauration-du-patrimoine-livre-et-papier/
Rencontre !
Aujourd'hui dans Voyages en récits, parlons de poésie avec Gwen Garnier-Duguy, poète qui vient de toucher le prix international Yvan Goll 2020, remis le vendredi 10 juin dernier, sur la grande scène du Marché de la Poésie, pour son recueil Enterre la parole (Éditions de Corlevour). Rencontre...
Dès les premiers siècles du christianisme, les Pères du désert ont développé une véritable pharmacie de l'âme dont la vertu est de contribuer à la santé spirituelle. Leur médecine, considérée comme l'art des arts et la science des sciences, est faite de sobriété, de pratiques méditatives et d'hospitalité. Face au mal-être, aux souffrances psychiques, à la sexualité en berne, à la dépendance aux écrans, au rapport démesuré au travail, à la perte de sens, à la solitude, elle apparaît d'une urgente actualité et d'une étonnante pertinence. Parlons-en avec Jean-Guilhem Xerri, psychanalyste qui revient sur cette méditation dans des ouvrages tels Prenez soin de votre âme et La vie profonde.
Partons en voyage à travers l'Europe centrale avec Adèle Lorenzi et Grégoire Fauconnier, en plein printemps des peuples lors de la vague de révolutions des années 1848-1849. Du Risorgimento à l’aube de la Révolution d’Octobre (1917), cheminons au gré des langues et des harmonies dans l’aube d’une Europe qui s’éveille.
https://lesmusicalesderedon.fr/concerts/duo-hemera-adele-lorenzi-xinhui-wang/
https://lesmusicalesderedon.fr/concerts/gregoire-fauconnier-conference/
Un jour d’août 1853, une goélette jette l’ancre dans un port californien. À la couleur de sa grand-voile, les habitants comprennent que son capitaine a réussi l’impensable : capturer la « Femme Solitaire », ultime représentante d’un peuple immémorial, ayant vécu 18 ans sur une île sauvage au large de Santa Barbara. Sa langue est énigmatique. Elle irradie une joie extraordinaire. Qui est-elle ? Qu’a-t-elle vécu sur l’île ? Le Dr Shaw prend fait et cause pour cette femme, c'est un combat pour la vérité. Tel est le ressort de ce magnifique roman choral fondé sur un fait divers authentique. On y retrouve la passion d’Irène Frain pour les héroïnes confrontées à l’adversité, les peuples opprimés, les langues perdues, l’océan, les horizons lointains.
Les mystères de la vie, de la passion et de la résurrection du Christ dans un recueil de poèmes. C'est le résultat d'un travail méticuleux confectionné par la journaliste Natalia Trouiller et le peintre François-Xavier de Boissoudy. Au départ, la poète entend soulager par l'écriture ses souffrances physiques que lui cause une violente maladie. Peu à peu, ses méditations sur la Passion vont l'amener à ré-enchâsser la douleur dans une histoire plus large, celle de la rédemption, du miracle de la résurrection, et du surgissement de la grâce. Le peintre Boissoudy retrace avec son style si particulier, fait d'ombres et de lumières, le chemin pris par son acolyte. L'ensemble offre aux lecteurs une plongée splendide dans les saints mystères, et donne au Rosaire un nouvel élan.
https://premierepartie.com/boutique/mysteres/
Les mystères de la vie, de la passion et de la résurrection du Christ dans un recueil de poèmes. C'est le résultat d'un travail méticuleux confectionné par la journaliste Natalia Trouiller et le peintre François-Xavier de Boissoudy. Au départ, la poète entend soulager par l'écriture ses souffrances physiques que lui cause une violente maladie. Peu à peu, ses méditations sur la Passion vont l'amener à ré-enchâsser la douleur dans une histoire plus large, celle de la rédemption, du miracle de la résurrection, et du surgissement de la grâce. Le peintre Boissoudy retrace avec son style si particulier, fait d'ombres et de lumières, le chemin pris par son acolyte. L'ensemble offre aux lecteurs une plongée splendide dans les saints mystères, et donne au Rosaire un nouvel élan.
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Ce livre aux sentiers qui bifurquent part de son titre.
Pourquoi la plupart des peintres ont-ils prêté un cheval à Saül, futur apôtre Paul, qui allait à Damas ?
La réponse s’en va rejoindre d’autres questions que posent à l’auteur tant les histoires vraies que les fables du « merveilleux » chrétien. Si elle les conte et raconte en les confondant avec allégresse, c’est sans doute grâce à l’esprit d’enfance cher à Bernanos.
Georges Bernanos fut, de 1926 où il fit se lever le Soleil de Satan sur la France des années folles à l’ultime Dialogue des Carmélites en 1948, un romancier de la sainteté et de l’enfance autant qu’un écrivain de combat. De L’Action françaiseà L’Intransigeant, il emboucha la presse comme une trompette de l’Apocalypse, et ses innombrables articles se confrontèrent sans répit à la ploutocratie démocratique et à la bien-pensance bourgeoise. Son engagement, mené seul au nom du Christ pauvre et de la vocation religieuse de la France de Jeanne d’Arc et de Péguy, le conduisit du tableau d’honneur des Camelots du roi aux rangs de la France libre. Véritable lanceur d’alertes politiques, il donna aussi l’assaut à l’Europe fasciste comme aux États-empires de la guerre froide et à leurs contingents d’hommes-machines. Monarchiste et catholique, nourri de Drumont et de Balzac, de Bloy et d’Hello, celui qui déclarait en 1935 : « le bon Dieu ne m’a pas mis une plume entre les mains pour rigoler », a vécu sans filet ni garde-fou, dans la main de Dieu. Père d’une famille chimérique, accompagné d’une élite d’amis fervents, il mena, entre la Picardie, Majorque, la Provence et le Brésil, une vie d’errance et d’écriture, de clameurs et d’espérance. C’est cette vie que nous entreprenons de raconter.
« Pour vivre, il faut le maximum et non le minimum. Pour penser l’homme, il faut également le maximum et non le minimum. Il y a quelque chose non seulement de royal mais de divin en lui. La pensée grecque en a eu conscience en honorant ceux qui, comme les sages et les héros, étaient capables de devenir les égaux des dieux. Dans les Évangiles, c’est ce qu’enseigne le Christ quand il lance à ceux qui veulent le lapider parce qu’il se dit fils de Dieu : " Vous êtes des dieux. " »
« Pour vivre, il faut le maximum et non le minimum. Pour penser l’homme, il faut également le maximum et non le minimum. Il y a quelque chose non seulement de royal mais de divin en lui. La pensée grecque en a eu conscience en honorant ceux qui, comme les sages et les héros, étaient capables de devenir les égaux des dieux. Dans les Évangiles, c’est ce qu’enseigne le Christ quand il lance à ceux qui veulent le lapider parce qu’il se dit fils de Dieu : " Vous êtes des dieux. " »
Aujourd'hui, rencontrons Yvon Tranvouez, professeur émérite d'histoire contemporaine à l'UBO de Brest au sujet de son dernier ouvrage au sujet de la vie de l'église des années 60 et 70. Parcourons avec lui ces années du concile Vatican II, du moment 68, de la crise, voyageons de Brest à Rome mais aussi Boquen, oscillant entre sujets de politique et de liturgie...
Aujourd'hui, rencontrons Yvon Tranvouez, professeur émérite d'histoire contemporaine à l'UBO de Brest au sujet de son dernier ouvrage au sujet de la vie de l'église des années 60 et 70. Parcourons avec lui ces années du concile Vatican II, du moment 68, de la crise, voyageons de Brest à Rome mais aussi Boquen, oscillant entre sujets de politique et de liturgie...
Pourquoi « mes révoltes » ? Pourquoi, sous l’apparence d’un enfant gâté — du succès, une famille célèbre, l’Académie —, Jean-Marie Rouart a-t-il éprouvé le besoin de remettre si souvent en cause cette reconnaissance sociale, jusqu’à s’exposer au tumulte des contestations et des condamnations judiciaires ?
C’est ce mystère de la destinée qu’il interroge en auscultant le roman de sa vie. Il s’efforce de comprendre les épisodes et les drames qui l’ont confronté à autant d’échecs que de réussites, de bonheurs que de malheurs. Analysant les aléas d’une jeunesse hantée par l’idée de la déchéance, il se penche sur les coïncidences qui l’ont amené, à travers tant de vicissitudes, à se lier avec des hommes d’exception : Jean d’Ormesson, Raymond Aron, Michel Déon, Jacques Vergès ou François Mitterrand. Engagé dans nombre de combats, dont le plus connu demeure la défense d’Omar Raddad, l’auteur ne dissimule rien de ses handicaps et des chances qui l’ont conduit à conjurer le mauvais sort. Se sentant en permanence le jouet de forces obscures, il tire de son expérience le sentiment d’avoir bénéficié d’une forme de miracle. Peut-être ce parcours en dents de scie était-il étrangement écrit dans les étoiles.
Pourquoi « mes révoltes » ? Pourquoi, sous l’apparence d’un enfant gâté — du succès, une famille célèbre, l’Académie —, Jean-Marie Rouart a-t-il éprouvé le besoin de remettre si souvent en cause cette reconnaissance sociale, jusqu’à s’exposer au tumulte des contestations et des condamnations judiciaires ?
C’est ce mystère de la destinée qu’il interroge en auscultant le roman de sa vie. Il s’efforce de comprendre les épisodes et les drames qui l’ont confronté à autant d’échecs que de réussites, de bonheurs que de malheurs. Analysant les aléas d’une jeunesse hantée par l’idée de la déchéance, il se penche sur les coïncidences qui l’ont amené, à travers tant de vicissitudes, à se lier avec des hommes d’exception : Jean d’Ormesson, Raymond Aron, Michel Déon, Jacques Vergès ou François Mitterrand. Engagé dans nombre de combats, dont le plus connu demeure la défense d’Omar Raddad, l’auteur ne dissimule rien de ses handicaps et des chances qui l’ont conduit à conjurer le mauvais sort. Se sentant en permanence le jouet de forces obscures, il tire de son expérience le sentiment d’avoir bénéficié d’une forme de miracle. Peut-être ce parcours en dents de scie était-il étrangement écrit dans les étoiles.
Esprit de la nation, sens de la terre... Pour éviter les égarements, les faux et contre sens, partons sur les chemins de la philosophie avec Pierre Magnard racontant l'enseignement reçu auprès de Gustave Thibon dans son vignoble du terroir ardéchois.
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