Ondes poétiques RCF - page 25

C’est la rentrée... mais l'été est toujours là ! Pourtant le passage d’août à septembre va nous conduire doucement vers la fin de l’été. Laissons nous imprégner encore de ciel d’été comme Arthur Rimbaud dans «Sensation» et Jean-Pierre Chambon dans «L’abîme».

C’est la rentrée... mais l'été est toujours là ! Pourtant le passage d’août à septembre va nous
conduire doucement vers la fin de l’été. Replongeons nous dans ce temps si doux où il fait si
bon ne rien faire, juste regarder la nature et sa vie foisonnante, ou rêver comme Théophile
Gautier dans cette «Ballade».

C’est la rentrée... mais l'été est toujours là ! Pourtant le passage d’août à septembre va nous
conduire doucement vers la fin de l’été. Retrouvons «Le temps des vacances» avec
Maurice Carême puis le «Jeu de boules» avec Sabine Péglion.

C’est la rentrée... mais l'été est toujours là ! Pourtant le passage d’août à septembre va nous
conduire doucement vers la fin de l’été. Pour ces 2 poétesses contemporaines, été rime avec
chaleur, vacances et douceur de vivre ! Ecoutons d’abord «Vacances» de Esther Granek
puis «Chaleur estivale» de Sybille Rembard

Anne-Chantal Berger ne pouvait terminer cette semaine autour d'un amusement poétique emprunté à Rolande Cielny Et bonnes vacances à tous nous dit elle.

Rolande Cielny écrit une poésie ergotique,acide et vivante mais elle écrit aussi des poèmes à fleur de peau sur les feuilles des arbres,recueils nombreux à découvrir tant son rythme et sa facilité de langage accréditent les verbes des lecteurs.

Extraits du recueil "humoresques",tous les poèmes de Rolande Cielny vous sont lus cette semaine par Anne-Chantal Berger...un beau clin d'oeil fait à nos amis belges.

Le poète Rolande Cielny est l'autrice d'une trentaine d'ouvrages publiés à compte d'éditeur aux éditions Drèsol,elle a reçu de nombreuses récompenses en France où elle est connue comme l'un des plus grands poètes francophones.

Anne-Chantal Berger nous mène à la rencontre de son amie belge Rolande Cielny agrégée de lettres et femme délicate et sensible.

Terminons cette semaine poétique dédiée à la naissance de bébés par deux poésies, l’une d’Auguste de Châtillon, «à mon petit enfant» et l’autre d’Eugène Lesage, «Dors en paix mon enfant».

Quoi de plus émouvant que celui de porter un regard attendri sur un enfant
nouvellement né. Odile vous invite à partager ce moment de bonheur à travers deux poésies , l’une d’Alain Samain, « le berceau» et l’autre d’Adrien Le Mansois, «souris, bébé souris».

Touchée par son nouveau statut de grand-mère, Odile a eu le plaisir de découvrir des poésies mettant en évidence la joie de découvrir la beauté des nouveaux-nés et souhaitait vous le faire partager.
Aujourd’hui, elle vous lit: «le charme de l’enfant» et «le sourire d’un enfant» d’Anatole de Ségur, homme de lettres et fils de la comtesse de Ségur.

On trouve auprès de plusieurs écrivains des poésies sur le thème de la naissance d’enfants. Découvrons avec Odile deux poésies, l’une d’Anatole France, «les petits enfants», l’autre d’André Lemoyne, «Berceuse» ,deux écrivains poètes de la fin du 19ème siècle.

Tout au long de cette semaine, Odile HOW SHING KOY propose aux auditeurs des poèmes sur la naissance.
Touchée par son nouveau statut de grand-mère, Odile a eu le plaisir de découvrir des poésies mettant en évidence la joie de découvrir la beauté des nouveaux-nés et souhaitait vous le faire partager. Aujourd’hui, elle vous lit un des plus célèbres poèmes de Victor HUGO: «Lorsque l'enfant paraît - « paru dans le recueil Les feuilles d'automne (1831). et évoque les joies associées à
l'enfance.

Pour terminer cette semaine consacrée à l’écoute de quelques textes d’Etienne Faure extraits de « Vol en V »(Editions Gallimard), laissons nous aller aux sensations d’après la pluie en écoutant « Danse et retour des pluies ».Ensuite, le poème « Transcender » nous invite à l’action,au dépaysement,au départ vers l’ailleurs pour s’élever, tels des oiseaux au vol en V pour le plaisir du vertige que donne aussi l’écriture (et la lecture) de la poésie.

Nous voici aujourd’hui, à l’invitation d’Etienne Faure, dans la nature avec animaux,minéraux , végétaux.Le poète nous propose d’ouvrir nos sens.Voici « Le bond » puis « Nuit attiédie ».

Dans une section du recueil »Vol en V » intitulée « Que ne suis je »,le poète Etienne Faure nous invite sur la trace de sa grand mère puis de partager la vue d’un chat de ville.Voici « Sur les pas de Fiorentina » puis « Derrière la vitre ».

Découvrons ensemble cette semaine quelques textes d’un poète contemporain, Étienne FAURE,extraits de son recueil intitulé « Vol en V » (éditions Gallimard).
Dans ces 2 texte, Étienne Faure nous fait partager par la vue ,l’ouïe, l’odorat ,la vie d’une rue ...Voici « Au vent d’avril » suivi de « En face ».

Dans un essai, plus qu’une anthologie, « Le flot de la poésie continuera de couler », le Prix Nobel de littérature Jean Marie Le Clézio s’associe au poète et calligraphe Dong Qiang pour traduire et penser la poésie de la dynastie Tang, qui régna entre 618 et 907.
Les poètes Tang écrivent aussi pour célébrer l’amour comme d’autres avant eux. On peut y lire le désir, la recherche du bonheur éphémère, l’attirance pour la beauté et la jeunesse.
Ecoutons du poète Du Mu, « Nuit d’automne » et « Départ », puis « Le pavillon des hirondelles » du poète Zhang Zhongsu
Les poèmes lus sont extraits du livre « Le flot de la
poésie continuera de couler » de Jean Marie Le Clézio avec la collaboration de Dong Qiang paru aux éditions Philippe Rey en 2020.