Méditation chrétienne · RCF Alsace RCF - page 3

Un comportement bien répandu est de porter un jugement sur les personnes rencontrées. Dans les évangiles, Jésus a parfois des paroles qui nous surprennent par leur exigence comme par exemple "Ne jugez pas et vous ne serez pas jugés."
Dans le silence de la méditation nous prenons conscience de nos faiblesses et cela nous invite à la bienveillance et au non jugement.

Après Pâques, le Dieu de paix est là, en votre centre le plus profond. Retirez vous là loin de ce qui tourbillonne au-dedans et au dehors de vous.

La Résurrection du Christ est bien la clé de voûte du message chrétien.

Nous voilà au dimanche de Pâques ! Le Christ triomphe de la mort, de la sienne mais également de la nôtre en ouvrant la voie à la vie éternelle. La nouveauté de la résurrection du Christ c'est que dès à présent, dans notre vie nous pouvons faire l'expérience de la résurrection. En effet, notre vie s'inscrit dans une dimension d'éternité chaque fois qu'elle emprunte la voie de l'amour.

Le souffle inscrit dans notre corps la trame même de l’existence. Donner, recevoir, mourir et vivre. Le Christ a assumé toute notre existence. Il nous montre le chemin.

Par l’Alliance, Dieu s’implique dans notre histoire humaine et Jésus donne à cette Alliance une dimension d’éternité.

La peur fait partie de la vie. il s'agit de la regarder en face pour la transformer en force de vie. En restant suffisamment reliés à Dieu par la prière, nous aurons cette assise de confiance et d'amour au fond de nous qui désamorcera notre peur et celle des autres.

Associer le souffle et la répétition du Nom divin, voilà une ancienne manière de prier redécouverte grâce notamment au succès éditorial de Récits d’un Pèlerin Russe. Nous sommes invités à la redécouvrir en ce temps de Carême.

Le Carême est un temps pour se convertir, pour changer notre regard sur nos frères et sœurs, mais aussi sur Dieu.

Nous voilà au premier dimanche de Carême! Cette période est un temps fort pour approfondir notre foi. C'est l'occasion d'améliorer, avec persévérance, la qualité de notre vie intérieure.

La méditation chrétienne ne se veut pas une technique de guérison. Il s'agit précisément de ne pas "faire" en comptant sur son moi. Rendons nous profondément disponibles à la puissance de la grâce. Une force de guérison plus grande veut s'offrir à nous.

Chaque matin, une nouvelle journée nous est offerte et l’amour de Dieu nous est donné, à l’image du soleil qui se lève et éclaire tous les êtres.

La semaine dernière s'est achevée la semaine de prière pour l'unité des chrétiens. La démarche vers l'unité ne va pas de soi. N'est-elle pas facilitée par notre unité intérieure ? C'est ce que la méditation peut favoriser.

Tant que nous nous identifions aux réalités qui passent, nous vivons dans une forme d'inquiétude, agités par la peur de perdre ou le désir de gagner, la peur d'être mal aimé et le besoin d'être apprécié.

Après l’Épiphanie, l’Église célèbre le baptême de notre Seigneur, qui clôt le temps de Noël. Deux thématiques humaines s’offrent à notre méditation de ce jour : l’affection et la mission. Cela peut nous surprendre et pourtant elles s’inscrivent dans notre quotidien.

Nous sommes au début d’une nouvelle année.
Tout commencement contient le frémissement de la nouveauté et nous remplit d’espérance !

Le temps de Noël est un temps dédié à la famille. La méditation en famille peut être l'occasion de vivre un temps spirituel ensemble, même là où tous les membres de la famille ne partagent pas les mêmes convictions religieuses.

De longue date le Sauveur était promis ! Enfin, il est né ! Saurons-nous l'accueillir ? Comment le reconnaître et l'accueillir aujourd'hui ?

Ce dimanche nous fêtons le 3ème dimanche de l'Avent ; il est placé sous le signe de la joie. Dans les évangiles, la joie dont parle Jésus ne correspond ni aux plaisirs, ni au bonheur, tributaires des aléas de la vie. Il s'agit de la joie profonde qui se vit dans la confiance enracinée dans le Christ et sa promesse de vie en plénitude.

Le temps de l'Avent peut être vécu comme "Attente de Dieu" mais aussi comme "Attention" à l'éternel présent de Dieu.