Un champ à moissonner

Marquée par un souci extrême de la performance et du succès, notre société a du mal à prendre en compte les fragilités. Qu'il s'agisse de celles des individus (problèmes de santé, difficultés psychiques, relationnelles...) ou de celles du monde (fracture Nord-Sud, inégalités sociales...), les évoquer renvoie à l'échec et aux blessures. Pourtant, la fragilité est constitutive de l'expérience humaine, la fuir est impossible.

(c) photo: TM

Marquée par un souci extrême de la performance et du succès, notre société a du mal à prendre en compte les fragilités. Qu'il s'agisse de celles des individus (problèmes de santé, difficultés psychiques, relationnelles...) ou de celles du monde (fracture Nord-Sud, inégalités sociales...), les évoquer renvoie à l'échec et aux blessures. Pourtant, la fragilité est constitutive de l'expérience humaine, la fuir est impossible.

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Georges Quenon, pasteur protestant, a longuement discuté avec Gabriel Ringlet autour de son livre "La grâce des jours uniques" paru chez Albin Michel en 2018.

EN 2025, PLUS DE 380 MILLIONS DE CHRÉTIENS SONT EXPOSÉS À DES PERSÉCUTIONS ET DES DISCRIMINATIONS FORTES EN RAISON DE LEUR FOI
Pour la douzième année consécutive, l’Index 2025 dresse le constat de l'augmentation de la persécution, portée par la violence en Afrique Subsaharienne et un durcissement du contrôle des églises en Asie Centrale.
Avec plus de 30 ans d’expertise, l’Index Mondial de Persécution des Chrétiens fait le classement des 50 pays où les chrétiens, de toutes dénominations, sont le plus persécutés. Près de 4000 personnes participent à la collecte des données de terrain jusqu’au niveau du village, et les analysent pour établir une mesure chiffrée et documentée du degré de persécution. Un ouvrage essentiel pour comprendre, tirer les leçons qui s’imposent, et agir.

(c) Photo: Portes ouvertes

Fabien Ruelle, journaliste et homme de média, nous propose un voyage en musique avec des chansons qui évoquent Dieu et la quête spirituelle.

Marquée par un souci extrême de la performance et du succès, notre société a du mal à prendre en compte les fragilités. Qu'il s'agisse de celles des individus (problèmes de santé, difficultés psychiques, relationnelles...) ou de celles du monde (fracture Nord-Sud, inégalités sociales...), les évoquer renvoie à l'échec et aux blessures. Pourtant, la fragilité est constitutive de l'expérience humaine, la fuir est impossible.

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Deuxième volet de notre rencontre avec le prêtre orthodoxe Adrian Tiron, à la paroisse Saint Grégoire Palamas à Anderlecht. Nous abordons cette fois le thème de la prière et la relation aux jeunes.

Le prêtre orthodoxe Adrian Tiron nous reçoit à Anderlecht, dans sa paroisse Saint Grégoire Palamas. L'occasion d'en découvrir davantage sur la spiritualité de rite roumain.

Marquée par un souci extrême de la performance et du succès, notre société a du mal à prendre en compte les fragilités. Qu'il s'agisse de celles des individus (problèmes de santé, difficultés psychiques, relationnelles...) ou de celles du monde (fracture Nord-Sud, inégalités sociales...), les évoquer renvoie à l'échec et aux blessures. Pourtant, la fragilité est constitutive de l'expérience humaine, la fuir est impossible.

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À Farnières, une communauté salésienne de religieuses et de religieux, accompagnés de laïcs remplis d'engagement, accueillent jeunes et familles pour faire un bout de chemin avec eux dans leur vie et dans leur foi. Mais les défis sont nombreux : rencontre avec Soeur Sandrine pour évoquer la situation actuelle et les enjeux qui se posent concrètement dès aujourd'hui.

Voici l'histoire de deux soldats, Don Malarkey (2e bataillon, compagnie E, 506th Parachute Infantry Regiment, 101st Airborne Division) né le 31 juillet 1921 et Fritz Engelbert, né en 1925 et enrôlé dans la Wehrmacht en 1943.
L’enfance de Fritz ne pouvait pas être plus différente de celle de Malarkey. Régi et endoctriné par la jeunesse hitlérienne, il était introspectif après des années d’endoctrinement par la machine de propagande nazie.

Soixante ans après leur affrontement dans la bataille des Ardennes, Don et Fritz se rencontrent autour d’une bière à Bastogne, où la bataille a eu lieu. Les deux hommes souffraient d’un trouble de stress post-traumatique (TSPT), mais lorsqu’ils apprennent à quel point leur vie était semblable, ils se lient comme des frères, se pardonnent et forgent une amitié qui est transmise à leurs propres enfants.

(c) Photo: Mathias Engelbert

Voici l'histoire de deux soldats, Don Malarkey (2e bataillon, compagnie E, 506th Parachute Infantry Regiment, 101st Airborne Division) né le 31 juillet 1921 et Fritz Engelbert, né en 1925 et enrôlé dans la Wehrmacht en 1943.
L’enfance de Fritz ne pouvait pas être plus différente de celle de Malarkey. Régi et endoctriné par la jeunesse hitlérienne, il était introspectif après des années d’endoctrinement par la machine de propagande nazie.

Soixante ans après leur affrontement dans la bataille des Ardennes, Don et Fritz se rencontrent autour d’une bière à Bastogne, où la bataille a eu lieu. Les deux hommes souffraient d’un trouble de stress post-traumatique (TSPT), mais lorsqu’ils apprennent à quel point leur vie était semblable, ils se lient comme des frères, se pardonnent et forgent une amitié qui est transmise à leurs propres enfants.

(c) Photo: TM

Marquée par un souci extrême de la performance et du succès, notre société a du mal à prendre en compte les fragilités. Qu'il s'agisse de celles des individus (problèmes de santé, difficultés psychiques, relationnelles...) ou de celles du monde (fracture Nord-Sud, inégalités sociales...), les évoquer renvoie à l'échec et aux blessures. Pourtant, la fragilité est constitutive de l'expérience humaine, la fuir est impossible.

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Avec l'abbé Bernard Van Vynckt, doyen de Marche, nous continuons d'approfondir le regard porté sur l'Église en Flandre, avec cette fois les résonances du synode sur la synodalité et de son document final.

Ces dernières semaines, les discussions ont été riches et parfois même très vives autour de la place de la religion catholique dans la société. Avec l'abbé Bernard Van Vynckt, c'est l'occasion de revenir sur la situation et le regard porté en Flandre sur l'Église.

Le 20 novembre, Aide à l’Église en Détresse (AED/ACN) organise des événements pour commémorer le Mercredi Rouge dans plus de vingt pays. L’objectif de cet événement annuel est de mettre en lumière les persécutions subies par les chrétiens dans le monde entier et le droit fondamental à la liberté religieuse.

(c) Photo: AED

Marquée par un souci extrême de la performance et du succès, notre société a du mal à prendre en compte les fragilités. Qu'il s'agisse de celles des individus (problèmes de santé, difficultés psychiques, relationnelles...) ou de celles du monde (fracture Nord-Sud, inégalités sociales...), les évoquer renvoie à l'échec et aux blessures. Pourtant, la fragilité est constitutive de l'expérience humaine, la fuir est impossible.

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Le Pape est venu en Belgique du 26 au 29 septembre. Et sa visite a fait de nombreuses vagues avec des propos qui ont heurté grand nombre de personnes.

Maintenant, que le calme est revenu, nous avions envie envie de mener une réflexion sur la place de la religion catholique sur nos ondes. Et de voir, comment RCF se positionne par rapport à tout ce qui a été dit par le pape.

Pour aborder ce sujet, nous sommes en compagnie de Myriam Tonus, laïque dominicaine et théologienne. Et nous avons également parmi nous, Dominique Jacquemin, qui est prêtre, infirmier et professeur à l’UCL.