Louis et Zélie

Malgré les obstacles, les arrachements, les pleurs, les Martin ont pu se renouveler, et se libérer avec la perspective de la « Grande Espérance » comme l’appelle le pape Benoit XVI. Cette Espérance de voir Dieu, du salut, de la vie dans le Ciel avec Jésus-Christ a transcendé Louis et Zélie. Aujourd’hui, loin d’être des fins en soi, les Martin restent de belles figures de frères aînés dans la foi, pour nous, abattus nous-mêmes dans ce manque d’espérance au cœur de notre monde.

Sophie et Jean André sont venus fêter leurs 25 ans de mariage dans les pas des Sts Louis et Zélie, à Alençon, en 2024. Entourés de leurs proches et de leur famille, ce fut pour eux un week-end plein de joie et de grâces, au sein notamment de l’hôtellerie des pèlerins du Sanctuaire. Un évènement qui a marqué beaucoup leur entourage à commencer par eux-mêmes, et dont ils témoignent sur RCF.

A l’inverse de l’espoir, l’espérance est une grâce qui engage le Bon Dieu dans la réalisation de ce que attendons. A l’image de nos prières et de nos espérances, la prière de Louis et Zélie n’a pas toujours été entendue et leurs projets profonds ont été contrariés. Pourtant, le Seigneur avait vu aussi dans leur for intérieur un projet pour eux plus comblant, et qui au final a dépassé leurs attentes.

En ce début d’Année jubilaire axée sur l’Espérance, nous ouvrons une série sur la famille Martin et l’Espérance. Une vertu théologale, un don de Dieu, dont le monde aurait bien besoin dans nos temps troublés.
Saint Louis Martin disait « faisons du mieux que nous pouvons et laissons le reste à la Providence », le reste se reçoit du Seigneur et peut se vivre notamment dans les sanctuaires, lieux d’intercession par excellence. « Les sanctuaires sont des lieux d’espérance »nous dit le P. Thierry Hénault-Morel, recteur du Sanctuaire d’Alençon, invité de cette émission.

Un colloque d’un jour et demi rassemblera les meilleurs spécialistes de la famille Martin et de l’évolution de la société et du mariage en France, les 14 et 15 mars prochains.

Le Père Thierry Hénault-Morel détaille les différentes communications qui émailleront ce rendez-vous exceptionnel que le Sanctuaire donne à chacun, à l’occasion de ses 10 ans.

L’année 2025 sera une étape importante pour le Sanctuaire d’Alençon qui fêtera ses 10 ans. A la source de cette creation par le diocèse de Séez, la canonisation des époux Martin, il y a donc 10 ans, le 18 octobre 2015. Le recteur du Sanctuaire revient sur cette année historique de 2015 et sur les évenements marquants à vivre à Alençon durant cette année 2025.

Marie, parisienne et maman solo de deux enfants, a participé, l’été dernier, à la semaine des vacances mamans solos au Sanctuaire. Elle revient sur son expérience très forte, sur l’accueil et la prise en charge « pleins de tendresse » qui lui ont permis de goûter l’instant présent et de découvrir les figures de sainteté de Louis et Zélie Martin. Une figure de couple en apparence en décalage pour une maman solo comme Marie, mais qui s’est révélée aux participantes, à cause des épreuves traversées et du veuvage de Louis, très proche de leurs propres situations.

A Noël, à l’image de la famille Martin, nous sommes invités à devenir quelque part des « saintes familles » où Dieu dans son incarnation s’invite, où le mystère de Noël s’actualise une nouvelle fois. Cet esprit de Noël, Louis, Zélie et leurs enfants l’ont vécu à leur manière jusqu’à cet enfant attendu pour les fêtes de Noël 1872 : Thérèse, née un 2 janvier, qui n’aura de cesse de suivre la figure de l’Enfant-Jésus.

A l’occasion de la fin de l’Année de la prière voulue par le pape François et bientôt le début de l’Année Sainte 2025, nous évoquons la place de la prière au cœur de la famille Martin. Dans ce second volet, découvrons comment chez Louis et Zélie et leurs enfants, la prière familiale eut une importance décisive, et comment à notre tour nous pouvons les suivre dans cette nécessaire « respiration » de l’âme.

A l’occasion de la fin de l’Année de la prière voulue par le pape François et bientôt le début de l’Année Sainte 2025, nous évoquons la place de la prière au cœur de la famille Martin. Dans ce premier volet, nous découvrons quelle place la prière de l’Eglise, la liturgie, eut chez Louis et Zélie et leurs enfants, et comment à l’occasion de fêtes liturgiques comme Noël, Pâques ou la Pentecôte, des évènement spirituels et humains eurent des impacts forts et déterminants.

Dernier volet consacré à cette thématique. Au cœur de cette émission, gros plan sur l’émerveillement des parents envers leurs enfants. Une action de grâce du quotidien, mais lucide, ni naïve ni dans l’adulation, et présente malgré les défauts ou les échecs apparents comme ceux de Léonie par exemple. Un émerveillement vécu même au plus profond des détresses les plus fortes comme nous l’évoque dans cette émission, Guy Fournier, adjoint du recteur du Sanctuaire d’Alençon.

Eloi et Claire, trentenaires, jeunes mariés et jeunes parents, témoignent d’un parcours très fort et d’un compagnonnage spirituel avec les Saints Louis et Zélie Martin, et la petite Thérèse. Ils nous partagent leur parcours de vie qui les a vus participer à un week-end proposé par le Sanctuaire d’Alençon, se fiancer au Pavillon, se marier à la basilique, et qui les a amenés à célébrer le baptême de leur fille Thérèse sur les fonts baptismaux mêmes qui ont vu également le baptême de la petite Thérèse Martin.

A l’occasion de la Toussaint et de la commémoration des défunts, nous avons pris nous aussi le chemin du cimetière. En l’occurrence le grand cimetière Notre Dame d’Alençon, que fréquentait la famille Martin en promenade dominicale. Dans sa partie ancienne, on y trouve les sépultures des amis de la famille, de gens évoqués dans la correspondance familiale, ou encore celles de ceux comme les Grant qui seront les témoins des premières années du pèlerinage auprès de Thérèse au sein de sa maison natale.

A l’occasion de la Toussaint et de la commémoration des défunts, nous avons pris nous aussi le chemin du cimetière. En l’occurrence le grand cimetière Notre Dame d’Alençon, que fréquentait la famille Martin en promenade dominicale. Dans sa partie ancienne, on y trouve les sépultures des amis de la famille, de gens évoqués dans la correspondance familiale, ou encore celles de ceux comme les Grant qui seront les témoins des premières années du pèlerinage auprès de Thérèse au sein de sa maison natale.

Deuxième volet consacré à la thématique de l’émerveillement au cœur de la famille Martin. Dans cette émission, Guy Fournier, adjoint du recteur du Sanctuaire d’Alençon continue à nous dévoiler l’état d’esprit qui régnait à Alençon et notamment au sein même du couple que formait Louis et de Zélie. L’émerveillement face à son conjoint ou sa conjointe, fut pour Louis et Zélie la source d’un amour durable qui sans cesse s’est renouvelé.

L’émerveillement face à ce que nous vivons est loin d’être une chose plébiscitée dans notre monde. Et pourtant il est la réponse première des enfants de Dieu vers leur Créateur. Saints Louis et Zélie, sans faire des dénis de réalités, ont vécu dans un vrai état d’esprit de joie et d’action de grâce tout au long de leur vie. Décryptage avec Guy Fournier, adjoint au recteur du Sanctuaire d’Alençon.

Le recteur et son adjoint font le point sur les actualités du Sanctuaire d’Alençon : fréquentation stable, présence accrue des groupes, évènements à venir. Les prochains rendez-vous à ne pas manquer seront notamment la fête des familles (26-27 octobre) avec Don Paul Préaux, et une retraite de compassion à la fin novembre.


Plus d’infos sur https://sanctuaire-louisetzelie.com/agenda/

Les Carmélites Messagères de l’Esprit Saint nous partagent leur activité durant la haute saison à la Maison famille Martin, rue Saint-Blaise. Qui sont les pèlerins et les visiteurs de 2024, ont-ils été au rendez-vous durant le Printemps et l’été ?

Au quotidien, les cinq religieuses présentes à Alençon permettent la visite, l’accueil. Elles favorisent surtout une expérience de proximité pour les pèlerins d’aujourd’hui avec une famille Martin en apparence éloignée. Les visiteurs comprennent, par la force du lieu, que la famille Martin leur dit quelque chose aujourd’hui et qu’elle comprend leur histoire ».

Découverte en deux volets d’un haut lieu du Sanctuaire d’Alençon, le pavillon en forme de tour et son jardin que saint Louis Martin avait acquis avant son mariage et que la famille Martin garda assez longtemps, Louis installé à Lisieux, y revenant retrouver ses amis. Le recteur, le Père Thierry Hénault-Morel nous entraine dans une découverte des lieux où prière, méditation, loisirs, lectures et petits travaux horticoles ont pu faire la joie des différents membres de la famille. Aujourd’hui, les pèlerins du monde entier viennent y goûter quelques mesures de simplicité, de sérénité et de contemplation, à l’image du père de Thérèse et de Léonie.

Découverte en deux volets d’un haut lieu du Sanctuaire d’Alençon, le pavillon en forme de tour et son jardin que saint Louis Martin avait acquis avant son mariage et que la famille Martin garda assez longtemps, Louis installé à Lisieux y revenant retrouver ses amis. Le recteur, le Père Thierry Hénault-Morel nous entraine dans une découverte des lieux où prière, méditation, loisirs, lectures et petits travaux horticoles ont pu faire la joie des différents membres de la famille. Aujourd’hui, les pèlerins du monde entier viennent y goûter quelques mesures de simplicité, de sérénité et de contemplation, à l’image du père de Thérèse et de Léonie.