La vie selon Benoît RCF - page 7

Cette semaine dans la vie selon Benoît, le Père Thierry Barbeau de l'Abbaye Saint-Pierre de Solesmes nous parle du Saint Esprit. De la place importante qu'il occupe dans la règle de St Benoît, dans la vie du moine, tout comme dans la vie de tout Chrétien.

Nous continuons cette semaine dans la vie selon benoît a parler de tristesse. Saint Benoît qui dans sa règle, invite les moines et plus globalement chacun d'entre nous extirper la tristesse de nos vies, et à ne jamais laisser nos frères dans la solitude de la tristesse. Les explications du Père Thierry Barbeau de l'Abbaye Saint-Pierre de Solesmes.

Après avoir parler longuement de joie ces dernières semaines, le Père Thierry Barbeau nous parle maintenant de tristesse. La tristesse qui tient également une place importante dans la règle de Saint Benoît, en invitant les moines et plus globalement chacun d'entre nous a chasser la tristesse de nos vies, car la tristesse est l'ennemie numéro un de notre vie spirituelle.

La joie pascale n'est pas la gaîté superficielle de ce monde, elle est bien plus. Une joie de l'Esprit Saint, une joie de Jésus qui se doit d'accompagner le moine dans son quotidien, tout comme nous tous d'ailleurs. Les explications du Père Thierry Barbeau de l'Abbaye Saint-Pierre de Solesmes.

Nous venons d'entrer dans la joie de Pâques, dans la célébration du Mystère pascal. Une joie pascale, où nos chants d'alléluia sont comme des cris de cette joie. Les explications du Père Thierry Barbeau de l'Abbaye Saint-Pierre de Solesmes.

Depuis quelques semaines dans la vie selon Benoît, nous avons beaucoup parler d'écoute de la parole de Dieu, et notamment en évoquant les oreilles et les yeux du cœur. Mais le moine, comme tous les chrétiens d'ailleurs, n'est pas seulement un être spirituel, mais aussi un être d'action. Une mise en pratique de la parole de Dieu, qui dans la règle de St Benoît se traduit par des œuvres, des bonnes œuvres que chacun d'entre nous se doit de réaliser.

Les explications du Père Thierry Barbeau de l'Abbaye Saint-Pierre de Solesmes.

Continuons de parler d'écoute dans la Vie selon Benoît. Après l'oreille du cœur, nous évoquons aujourd'hui les yeux du cœur. Si le cœur a des oreilles pour écouter, il a aussi des yeux pour voir, comme nous le rappelle cette semaine le Père Thierry Barbeau de l'Abbaye Saint-Pierre de Solesmes.

Continuons de parler d'écoute dans la Vie selon Benoît. Et notamment de l'oreille du cœur, qui bien plus que celle de chair, doit-être celle dédiée à l'écoute de Dieu. Une oreille du cœur à laquelle Saint Benoît accorde beaucoup d'importance dans sa règle. Un oreille du cœur aux trois grandes facultés, celle de la mémoire, celle du savoir, et enfin la volonté. Les explications du Père Thierry Barbeau de l'Abbaye Saint-Pierre de Solesmes.

Continuons de parler d'écoute dans la Vie selon Benoît. Et notamment du dialogue avec Dieu, qui selon St Benoît ne peux se faire sans une écoute préalable. Les explications du Père Thierry Barbeau de l'Abbaye Saint-Pierre de Solesmes.

Continuons de parler d'écoute dans la Vie selon Benoît. Une écoute attentive de la parole de Dieu qui permet vraiment d'entrer en relation d'intimité avec Dieu. Une présente invitation pour nous tous à prêter l'oreille de notre cœur à la parole de Dieu, comme nous le rappelle cette semaine le Père Thierry Barbeau de l'Abbaye Saint-Pierre de Solesmes.

Dans sa règle, Saint Benoît s'attarde sur l'action, même discrète, de Dieu dans la vie des moines, et dans celle de tous Chrétien d'ailleurs. Une action de grâce, que nous explique aujourd'hui le père Thierry Barbeau de l'Abbaye Saint-Pierre de Solesmes.

Dans sa règle, Saint Benoît accorde une place très importante à l'amour. Il invite même les moines, et chacun d'entre nous à faire preuve de zèle dans ce domaine, l'amour de Dieu, l'amour des autres. Les explications du père Thierry Barbeau de l'Abbaye Saint-Pierre de Solesmes.

Si Saint Benoît porte un regard réaliste sur les faiblesses humaines, il en demeure pas moins positif sur les capacités de l'homme a accueillir l'amour de Dieu. C'est la présence de Dieu en lui, qui élargit le cœur de l'homme, comme nous le rappelle aujourd'hui le père Thierry Barbeau de l'Abbaye Saint-Pierre de Solesmes.

Saint Benoît, dans sa règle, porte un regard réaliste sur les faiblesses humaines. Les moines, comme nous tous d'ailleurs, sommes avant tout des pêcheurs. Des pêcheurs, qui par leur conversion, deviennent des hommes sauvés et rachetés, capables de répondre à l'amour de Dieu par leur propre amour. Les explications du père Thierry Barbeau de l'Abbaye Saint-Pierre de Solesmes.

Dans sa règle, Saint Benoît porte un regard réaliste sur les faiblesses humaines. Les moines, comme nous tous d'ailleurs, sommes avant tout des pêcheurs. Des débutants sur le chemin de la vie Chrétienne, qui ont toujours besoin de conversion.

Saint Benoît, vous le savez maintenant, a une vision très précise de la personne humaine, et de la conduite que chacun d'entre nous doit avoir, et notamment en communauté. Une vision qu'il détaille dans sa règle, une règle de Saint Benoît qui est une règle avant tout pratique, qui comme le souhaitait Saint Benoît, laisse la place au caractère unique de chacun. Plus encore, elle honore la singularité. Les explications du père Thierry Barbeau de l'Abbaye Saint-Pierre de Solesmes.

Saint Benoît a une vision très précise de la personne humaine, et de la conduite que chacun d'entre nous doit avoir, et notamment en communauté. Une vision qu'il détaille dans sa règle, une règle de Saint Benoît qui est une règle éminemment pratique, comme nous le rappelle aujourd'hui le père Thierry Barbeau de l'Abbaye Saint-Pierre de Solesmes.

L'acédie est un mal de l'âme qui s'exprime par l'ennui, le dégoût pour la prière, la pénitence, la lecture spirituelle. Elle peut être une épreuve habituellement passagère, mais peut être aussi un état de l'âme qui devient une véritable torpeur spirituelle et la replie sur elle-même. L'acédie qui bien-sûr peut toucher les moines, mais pas seulement.

Mais alors, comment s'en préserver ? Éléments de réponses avec le Père Thierry Barbeau de l'Abbaye Saint-Pierre de Solesmes.

En cette période hivernale, ou froid rime avec obscurité, nous pouvons parfois nous laisser aller à la morosité, à la tristesse. Nous, comme les moines d'ailleurs. Mais alors comment ne pas se laisser envahir par la tristesse, et notamment la tristesse intérieure ? Début de réponse avec le Père Thierry Barbeau de l'Abbaye Saint-Pierre de Solesmes.

On continue de parler de convivialité cette semaine dans " La vie selon Benoît ". La convivialité, qui tient une place importante dans la règle de Saint Benoît, et notamment grâce au repas communautaire, qui dans la règle Bénédictine représente une véritable liturgie de la table. Une convivialité vraie et retrouvée qui peut s'appliquer à chacun de nous, mais qui suppose quelques conditions essentielles que nous rappelle aujourd'hui le Père Thierry Barbeau de l'Abbaye Saint-Pierre de Solesmes.