La symphonie pastorale RCF - page 6

Souvenir de la nativité, la crèche vit d'innombrables formes, vivantes, artistiques, toutes perpétuant le récit de la nativité de Jésus comme une relecture de notre propre origine, histoire, héritage.

A l'approche de noël nous admirons la crêche tout en musique.

Souvenir de la Nativité, la crèche vit d'innombrables formes, vivantes, artistiques ; toutes perpétuent le récit de la Nativité de Jésus comme une relecture de notre propre origine, histoire, héritage.

À l'approche de Noël, nous admirons la crèche en musique.

Au soir du jour s'allume encore la lumière pour entrer dans la nuit à la lueur de la prière.

Ainsi, en liturgie, la communauté se confie au Christ lumière veillant sur l'humanité plongée dans l'obscurité, celle de la vie ou du jour.

D'un usage domestique à celui nous tournant vers l'espérance de la Résurrection, écoutons chanter l'hymne antique à la lumière joyeuse.

Poursuivons l'évocation de la guerre 14-18 avec quelques musiques hommage aux soldats, aux enfants, aux morts pour la France.

D'une note à l'autre, de la monodie à la polyphonie, d'une harmonie à l'autre, la musique est passage, voie dans le temps.

Au moment où s'envisage le passage de la mort, les capacités expressives de la musique servent, accompagnent, amplifient les Écritures confiantes au seuil de l'Éternité promise.

Découverte de musiques rituelles pour le "passage" chrétien, dans votre "Symphonie pastorale " présentée par Cédric Clément.

Dans quelques jours nous commémorerons l'armistice de la Grande Guerre. L'occasion de découvrir des oeuvres qui invitent au souvenir et à faire mémoire.

Au lendemain d'un séjour déterminant avec Buxtehude, Bach alors en poste à Weimar est en pleine éclosion de ses capacités créatrices, initie la création d'un livre d'orgue, l'Orgelbüchlein, donnant un exemple de l'art de préluder au chant pour l'année liturgique.

46 chorals d'une richesse au moins aussi grande que celle de notre éventail d'émotions, celui de notre vie terrestre que le chanteur, tourné vers Dieu, porte en prière, fort de l'élan offert par l'orgue, entre ciel et terre comme un messager par la musique.

C'est l'un des "grands monstres de l'orgue" ... Rendons hommage à Jean Guillou, organiste plus connu à l'étranger qu'en France, qui a tenu l'orgue de St Eustache pendant plus de 50 ans !

Chaque jour étant renaissance, jamais la création ne cesse véritablement.
Qu'elle soit silencieuse et invisible à travers tous les processus participant à nourrir l'inspiration et l'être, ou qu'elle soit concrète à travers l'acte de l'artiste, de l'auteur et du compositeur pour ce qui est de la musique vocale.

Découverte de ce processus où l'Esprit-Saint est toujours à l'oeuvre.

De l'idéal chevaleresque, entouré de troubadours, à l'abandon heureux à Dieu, jusqu'à porter les stigmates du Christ, saint François d'Assise nous semble voisin, ami, frère.

Rencontre avec le Poverello d'Assise par la musique de son temps.

Composé en 1900 sur un poème du cardinal JH Newman, converti au catholicisme, l’oratorio de Edward Elgar nous transporte auprès de Gerontius et de l’ange le conduisant à Dieu au moment de quitter la vie terrestre.

Toute la suavité anglaise magnifie ici la rencontre de deux repères spirituels et artistiques, que sont Newman et Elgar, à la manière de notre rencontre perpétuelle avec la Bible.

Voyage en Estonie à la découverte de ce compositeur contemporain originaire d'Europe du Nord qui écrivit aussi de la musique sacrée !

Si la reine à son cuisiner, elle a aussi... Son maître de musique !

À l'occasion du décès d'Élizabeth II, on s"intéresse à Judith Weir, compositrice britannique au parcours exceptionnel, qui a servi la reine jusqu'à son dernier souffle, et qui continuera d'égayer les oreilles du roi Charles III.

2022 marque les 30 ans du retour à Dieu du compositeur et organiste Olivier Messiaen dont la Sologne, le Berry, tant d’oiseaux et de lueurs sur la Bible et la nature, gardent le souvenir vivant.

Rencontre musicale grâce à deux hommages : l'un par le regard, celui de Jésus enfant, l'autre par le sourire, celui de Mozart.

Ferrare, Venise, Bergame… L'évocation de ces perles italiennes traduit déjà la musique d’Alessandro Grandi.

Né à l’apogée de la Renaissance, le disciple de Monteverdi contribuera magnifiquement à l’émergence de la musique Baroque au-delà de l’Italie.

On le découvre à la lumière d'un très bel album enregistré à Venise et qui vient de paraitre sous le label Arcana.

Empruntant à saint Jean-Baptiste une hymne qui lui est dédiée au jour de sa fête le 24 juin, Guy d’Arezzo trouva une heureuse solution à sa quête de nommer les sons, les degrés de l’échelle musicale établie.

Si l’apprentissage trouve ici une solution, les yeux levés vers le ciel n’en ont pas autant besoin : les ailes de la musique suffisent pour voler au gré des vents inépuisables de l’Esprit Saint.

De par sa position le plus souvent en altitude entre terre et ciel, l’orgue épouse toutes les caractéristiques d’un « super chantre ».

Voyez : des poumons rendus inépuisables par les ventilateurs désormais électriques, des milliers de tuyaux et de sonorités sont autant de voix humaines magnifiées et portées vers l’au-delà de nous.

« Orgue, instrument sacré, élève nos chants et nos supplications vers Marie, la mère de Jésus ».

Pas moins de 1000 musiciens ont participé à la création de la Symphonie n°8 en mi bémol majeur de Gustav Mahler. Une œuvre assez longue, comme toutes ses symphonies.

Quelques jours après la Pentecôte, découvrons le "Veni Creator", extrait de ce "monument musical" à tout point de vue !

Inspiré d'un office éthiopien honorant la Sainte Vierge, le Magnificat ou "'Visitation de Marie", opus 3 de Florentz est une œuvre sans pareille.

En quatre périodes, le compositeur prolonge le temps de chaque audition de son œuvre, le deuxième mystère du Rosaire, à la lueur d'une Salutation qui attend désormais notre réponse.

Par les ailes de la foi, s’élever par delà le ciel corps et âme. S’élever de la terre, mais aussi s’élever en soi.

C’est toute l’expérience inouïe du texte allié à la musique de Bach, que l'on découvre dans cette Cantate BWV43 écrite particulièrement pour l'Ascension.