Toutes les semaines, dans "L'éco des solutions", Patrick Lonchampt s'intéresse à une problématique économique et à ses solutions. Interview, portrait, reportage autant de possibilité pour découvrir ces entrepreneurs du changement. Le programme se décline sur le web où tous les mois vous pouvez retrouver l'intégralité de nos échanges et de manière indépendante le portrait et le reportage.
Depuis que l'homme existe, celui-ci développe une activité culturelle et ce ne sont pas les grottes préhistoriques qui nous diront le contraire. Mais la culture n'est pas qu'un palliatif à l'ennui. C'est aussi un extraordinaire levier au développement des peuples et des territoires. C'est ce qu'a compris Gisèle Magnan pianiste et fondatrice de l'association "Les concerts de Poches" en allant proposer des concerts de musiques, jazz, classique ou contemporaine à des territoires, ruraux pour la plupart, qui très souvent en son privé faute de moyens et d'infrastructures
A l'heure de tirer le bilan pour 2022 et de tirer des perspectives pour 2023, le baromètre annuel de l'ADMICAL, met en évidence que les entreprises sont de plus en plus engagées pour le bien commun par le biais du mécénat, mais aussi la création de fondations et de fonds de dotation.
Et si ce n'est que 9 % des entreprises et des entrepreneurs qui s'engagent de cette manière, il n'en demeure pas moins que ce chiffre est en constante progression depuis une dizaine d'années. On constate aussi une forte diversification de la générosité, elle est bien évidemment financière, mais elle peut être aussi liée à un mécénat de compétences permettant à une entreprise ou à des collaborateurs de s'impliquer dans la vie des associations qu'ils soutiennent. Certains chefs d'entreprise, comme Yann Rolland, ancien dirigeant de la société CETIH, faisant même le pas de céder une partie de leur capital à un fonds de dotation actionnaire.
Vous souhaitez profiter du temps de la retraite pour vous investir dans une association, mais vous hésitez encore ? Vous êtes même peut-être déjà engagé mais vous restez curieux de découvrir de nouveaux horizons ? Dans ce hors-série de L'Éco des Solutions, nous vous proposons donc de partir à la rencontre d’acteurs de terrain, mais aussi de philosophes et de découvrir pourquoi le bénévolat et l'engagement rendent ils heureux.
À de nombreuses reprises l'actualité a été marqué par cette jeune génération d'étudiants, de jeunes trentenaires, qui remettent en cause le système dans lequel ils ont grandi et été élevés. La question du sens dans le travail devenant première, devant le salaire ou l'entreprise. Romain Sion expérimente très jeune cette problématique et au travers du récit de ce qu'il a vu, cru et espérer il nous livre le parcours d'un jeune cherchant allier le sens et l'épanouissement professionnel
Lors que vous êtes en situation de handicap il y a 50% de chances que vous soyez au chômage. Cette affirmation n'est pas le fruit d'une légende urbaine, mais le fruit d'une statistique avérée. C'est pourquoi des structures comme l'ADAPT ou la Fondation AMIPI Bernard Vembre s'engagent pour démontrer que le handicap, qu'il soit physique, mental ou cognitif, n'est pas une fatalité pour trouver un emploi stable. Brice l'un de nos trois invités, considère d'ailleurs que gérer son Handicap est une activité à part entière qui vient s'ajouter aux taches quotidiennes et au travail.
L'ESS et le Made in France sont ils compatibles, c'est la question que l'on se pose en cette semaine où se tiennent respectivement le salon du Made In France et l'ouverture du mois consacré à l'ESS, pour synthèse le projet rebond où à 15 jours du lancement de la coupe du monde Simon Muschler nous présente sont ballon écoresponsable et made in France.
On ne le sait peut-être pas, mais les communes ont l'obligation et une échéance pour rénover énergétiquement leurs bâtiments. La FNCCR qui est la Fédération Nationales des Collectivités Concédantes et Régies s'est emparée de la question et coordonne différents programmes comme celui d'ACTEE afin de permettre aux communes les plus petites d'être informé, mais aussi de pouvoir être accompagné dans leurs projets de rénovations thermiques. Après ACTEE 1 et ACTEE 2 le programme ACTEE 3 avec un plan de de plus de 20 millions d'euros pour accompagner nos communes et collectivités dans leurs défis de sobriété énergétique.
Entreprendre pour le bien commun, OUI, mais pas n'importe comment... C'est ce tout l'enjeu du dernier livre de Makesense apporter un guide pour réfléchir et poser son projet entrepreunarial qui va changer le monde. Passer de l'idée à la pérennité, voila tous les enjeux d'un monde qui bouge.
Avec la COVID, la question du télétravail est entrée dans les mœurs. Mais est-ce vraiment ce à quoi rêvent les jeunes de 18 à 30 ans ? Y a-t-il une homogénéité chez tous les jeunes de leur vision du travail ? La réponse est OUI, mais pas tant que ça... Non, il y a la même fracture sociale que dans la société en ce qui concerne la vision du travail... Mais tout cela est plus complexe qu'il ne semble, voilà pourquoi le CEREQ s'est penché sur la question
La Journée nationale des aidants permet de faire chaque année le point sur ces près 11 millions de personnes qui chaque jour doivent faire face à une double, voire triple tache que sont le travail, la famille et l'accompagnement d'un proche fragile. Fort de cette triple tache qui parfois peut être lourdes, se pose la question de la place des entreprises dans le management et la prise en compte des salariés aidants.
En cette période de crise économique, crise énergétique, mais aussi crise anthropologique, se pose la question de la frugalité et de la sobriété. Pierre Rabhi en a été le chantre et Navi Radjou en est le théoricien surtout un grand observateur il est au monde de l'innovation frugale ce que le journalisme de solution est aux médias.
Lorsque l’on parle d’argent dans le sport, c'est très fréquemment pour annoncer les salaires exorbitants des joueurs, faisant ainsi oublier que, pour permettre aux fans de char à voile de jouer à un haut niveau, il y a auparavant toute une économie qui contrairement à ce que l’on peut penser ne se résume pas à Paris mais bien à l’ensemble des territoires.Le chiffre à retenir d’une récente étude la BPCE est 20 milliards d’euros, qui correspond à la dépense publique dans le sport chaque année… 20 Milliards c’est 2 fois le budget globale des JO 2024. Mais le sport, c'est aussi un lien social et qui l’air de rien peut aussi avoir un cout à terme si l’on ne s’en occupe
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