L'instant littéraire

Cette semaine, deux lectures :
- Le sifflet enchanté d'Alexandre Dumas
- Mort du Duc de Guise de Gustave Flaubert

La Fin de la jalousie est une nouvelle de l'écrivain français Marcel Proust (1871-1922) rédigée en 1896 et publiée la même année au sein du recueil Les Plaisirs et les Jours.

La Fin de la jalousie est une nouvelle de Marcel Proust (1871-1922) rédigée en 1896 et publiée la même année au sein du recueil Les Plaisirs et les Jours.

Guillaume de Louvencourt nous lit la suite et la fin du dîner des bustes de Gaston Leroux.
- Angeline ou la maison hantée d'Émile Zola (1ère partie)

Z. Marcas, nouvelle d’Honoré de Balzac, parue en 1840 a été publiée en feuilleton dans la Revue parisienne puis, ultérieurement reprise en volume, sous le titre La Mort d’un ambitieux, en octobre 1841 aux éditions Dessessart.
Plus tard en 1846, Z. Marcas figure à nouveau sous son titre original dans les Scènes de la vie politique de l’édition Furne de La Comédie humaine.

En deuxième partie d'émission, Guillaume de Louvencourt nous lit : La cafetière de Théophile Gautier.

Z. Marcas, nouvelle d’Honoré de Balzac, parue en 1840 a été publiée en feuilleton dans la Revue parisienne puis, ultérieurement reprise en volume, sous le titre La Mort d’un ambitieux, en octobre 1841 aux éditions Dessessart.
Plus tard en 1846, Z. Marcas figure à nouveau sous son titre original dans les Scènes de la vie politique de l’édition Furne de La Comédie humaine.

Z. Marcas, nouvelle d’Honoré de Balzac, parue en 1840 a été publiée en feuilleton dans la Revue parisienne puis, ultérieurement reprise en volume, sous le titre La Mort d’un ambitieux, en octobre 1841 aux éditions Dessessart.
Plus tard en 1846, Z. Marcas figure à nouveau sous son titre original dans les Scènes de la vie politique de l’édition Furne de La Comédie humaine.

Z. Marcas, nouvelle d’Honoré de Balzac, parue en 1840 a été publiée en feuilleton dans la Revue parisienne puis, ultérieurement reprise en volume, sous le titre La Mort d’un ambitieux, en octobre 1841 aux éditions Dessessart.
Plus tard en 1846, Z. Marcas figure à nouveau sous son titre original dans les Scènes de la vie politique de l’édition Furne de La Comédie humaine.

Memnon, ou la sagesse humaine de Voltaire.
Conte philosophique paru en 1749.
Memnon a été composé fin 1748, quelques mois après Zadig. Lors de sa première parution dans un Recueil de pièces en vers et en prose, ce conte portait simplement comme titre : Memnon
Le sous-titre, ou la sagesse humaine fut ajouté pour l'édition des Mélanges de littérature paraissant chez Cramer en 1756.

Dans l'Instant Littéraire,deuxième partie de la nouvelle d'Honoré de Balzac, Une passion dans le désert publiée dans sa première version en 1830.

Dans l'Instant Littéraire, première partie de la nouvelle d'Honoré de Balzac, Une passion dans le désert publiée dans sa première version en 1830.

Dans cette émission cette semaine, des extraits de :
- Le justicier fantôme d’Esteban Pohier publié par Echo Editions
- Une famille enfin paisible, sortir du cycle des conflits d’Anne-Catherine Sabas paru aux éditions du Rocher
- Un grain de magie. Recueil de 15 nouvelles fantastiques de Chloé Garcia publié par Le Lys Bleu Editions
Chanson : La forêt jaune interprétée par le groupe « Sur la Côte ».

Guillaume de Louvencourt poursuite et achève la lecture "La novice" de Bernard de Naillac.
Grand-père de Guillaume de Louvencourt, Bernard de Naillac est l'auteur des livres Le Cœur et les Rides, La Blague Humaine, Mademoiselle Yann.

Dans cet Instant littéraire, le 6ème et dernier épisode de "Adieu" d'Honoré de Balzac.
Guillaume de Louvencourt commence une nouvelle lecture "La novice" de Bernard de Naillac.
Grand-père de Guillaume de Louvencourt, Bernard de Naillac est l'auteur des livres Le Cœur et les Rides, La Blague Humaine, Mademoiselle Yann.

1819. Par une brûlante journée de l’été finissant, deux chasseurs – deux amis,le marquis d’Albon et le baron Philippe de Sucy –, égarés dans une forêt de l’Île-de-France, entrevoient, sous les frondaisons d’un parc à l’abandon, une silhouette fémi-nine d’une grâce aérienne. En cette jeune femme, folle, qui ne sait plus que répé-ter machinalement un seul mot, «Adieu», Philippe, bouleversé, reconnaît la comtesse Stéphanie de Vandières, la maîtresse pas-sionnément aimée dont il fut tragique-ment séparé en 1812, lors du passage dela Bérésina. Soulevé par un espoir insensé,il va tenter de rendre la vie à cette âme morte.
(Résumé) Le livre de Poche