Du Talent et du Coeur RCF - page 7

Emmanuel TEISSIER a 40 ans et il dirige VIA CARITATIS qui commercialise des vins produits au pied du Mont Ventoux en Vaucluse par les moines de l'abbaye du Barroux et par des vignerons des villages avoisinants.
A 18 ans Emmanuel est parti en stop avec son frère avec l'intention de découvrir le monde à la recherche de Dieu.
" Pendant 4 ans j'ai fait tous les métiers : bucheron dans les Carpates en Roumanie, manœuvre maçon en Terre Sainte, skipper en Mer Rouge, ou professeur de français en Ethiopie..."

Gabriel TEISSIER a 40 ans. Il est le directeur développement de VIA CARITATIS qui commercialise des vins produits sur les côteaux du Ventoux autour du village du Barroux par des moines et des vignerons.
C'est après ses rêves d'enfance puis son adolescence qu''il a décidé de partir à l'aventure à l'âge de 18 ans.
"J'avais un désir de Dieu mais je ne le trouvais pas encore dans la façon dont il m'était présenté."

Hervé BELMONTET a 62 ans. Chef d'entreprise depuis l'an 2000 alors qu'il avait 40 ans, il dirige aujourd’hui la sté ERUDIS FORMATIONS qui dispense des formations en alternance à Avignon, à Aix en Provence et à Nice.
" les dispositifs en alternance disponibles, permettent désormais d'y poursuivre ses études depuis le CAP jusqu'à Bac+5."

Hervé BELMONTET a 62 ans.
En l'an 2000 il a pris le pari de créer son entreprise, et il est aujourd’hui à la tête d'ERUDIS FORMATIONS qui propose des enseignements professionnels en alternance dans le tertiaire à Avignon, à Aix en Provence et à Nice.
Il nous confie que "La constitution d'une équipe : c’est le plus important dans la création d'une entreprise."

Hervé BELMONTET a 62 ans et il dirige la société ERUDIS FORMATION spécialisée dans la formation professionnelle en alternance.
ERUDIS est implantée à Avignon, à Aix en Provence et à Nice .
" Parmi toutes les activités d'un chef d'entreprise, celles qui me plaisent le plus : c'est la création... le développement..."

Hervé BELMONTET a 62 ans.
En l'an 2000 il a pris le pari de créer son entreprise, et il est aujourd’hui à la tête de ERUDIS FORMATIONS qui propose des enseignements professionnels en alternance dans le tertiaire à Avignon, à Aix en Provence et à Nice.
Son éducation familiale et le scoutisme ont fortement inspiré son pari professionnel.
" Le scoutisme est une excellente école pour devenir chef d'entreprise : il encourage la prise d'initiative, il apprend à dynamiser un groupe, à définir un cap et à maintenir l'harmonie dans une équipe. "

Dans ce dernier rendez-vous, Frédéric Gaillane qui a créé en 2014 la Fondation qui porte son nom nous dévoile les temps forts et l'organisation de cette structure dynamique. Il nous explique comment les chiens guides sont éduqués puis mis en contact avec les enfants non-voyants, comment ils apprennent à se déplacer et à vivre ensemble...
"16 salariés et plus de 350 bénévoles sont les maillons essentiels pour faire rayonner en Europe notre école de chiens-guides".

Frédéric Gaillane nous explique dans ce rendez-vous toute la force de conviction qu'il a dû mettre en oeuvre pour réussir la construction de la première école de chiens guides pour enfants aveugles ou mal voyants de 12 à 18 ans. "Transmettre c'est important je ne suis qu'un passeur, les enfants non-voyants je ne les lâche pas".
Il y a une transformation immédiate de la vie des enfants qui ont reçu un chien guide, il ne se sent plus jamais seul. "Il y a un rayonnement quelque chose qui s'illumine en eux"

Frédéric Gaillane a 59 ans, il préside la Fondation qui porte son nom dont le but est d'offrir des chiens guides aux enfants aveugles ou mal voyants. Après son accident de la route il a trouvé les ressources pour fonder une famille avec deux enfants et créer de multiples projets notamment dans le domaine artistique (Parcours de l'Art, ...).
"Prête-moi tes Yeux, ensemble faisons un bout de chemin, toi tu serais mon bon chien, je ferais celui qui voit bien".

Frédéric GAILLANNE, 59 ans, est le président de la Fondation qui porte son nom à l'Isle sur la Sorgue. Devenu accidentellement aveugle à l'âge de 19 ans il a trouvé les ressources pour créer en 2008 la première école en Europe de chiens guides pour enfants non-voyants.
"L'amour et la tendresse m'ont aidé à lutter pour continuer à exister".

Isabelle RONZIER a 57 ans. Médiatrice culturelle installée à Avignon, elle consacre l'essentiel de son activité à faire découvrir le potentiel de créativité que chacun porte en lui ; en particulier auprès des enfants dans le domaine musical.
" Avec un enfant Il ne faut pas faire de la démagogie. Il ne faut pas tricher. Il s'agit de le solliciter là où il est vraiment artiste".

Isabelle RONZIER a 47 ans. Passionnée de musique et particulièrement d'opéra, elle consacre l'essentiel de son travail à faire découvrir aux enfants la musique et leurs propres capacités créatives.
" Quand on fait rentrer un enfant dans un opéra il ne sait plus où poser ses yeux écarquillés et la musique lui parle immédiatement au cœur"

Isabelle RONZIER a 57 ans
Enfant elle était passionnée de musique baroque de littérature et d'histoire. Aujourd'hui elle est médiatrice culturelle, désireuse d'ouvrir les enfants sur leurs émotions et leur sensibilité en les impliquant dans des créations musicales.
"Nous ne renonçons pas à nos rêves si nous trouvons les ressources intérieures pour les réaliser".

Isabelle RONZIER à 57 ans.
Elle est médiatrice culturelle installée à Avignon.
Passionnée de musique depuis l'adolescence, elle apprécie particulièrement créer des spectacles avec des enfants.
"Je n'ai jamais imaginé construire une carrière. Je crois par contre à la nécessité de suivre ses passions".

Christian BRAILLY a 65 ans. Il est Frère dans la communauté Franciscaine d'Avignon.
En 2010 il a accepté de devenir aumônier au crématorium d'Avignon.
Il ne pensait pas tenir plus de 15 jours, mais 12 ans ont passé et il est toujours là !
"C'est face à la détresse de ma mère lors du décès de ma sœur, que j'ai décidé de m'engager contre la mort dans l'accompagnement des familles endeuillées en essayant de leur donner confiance".

Frère Christian BRAILLY a 65 ans.
Il y a près de 40 ans, il a choisi de devenir frère Franciscain après avoir découvert François d'Assise, animé par le désir de se mettre au service du plus pauvre.
"La priorité d'un frère Franciscain c’est d'être frère, mais pas forcément prêtre.
On peut proclamer la parole de Dieu sans être prêtre… et tendre la main à celui qui souffre, c'est notre façon à nous de témoigner du Christ"

Christian BRAILLY a 64 ans et il est frère franciscain à Avignon.
Après avoir vécu une jeunesse douloureuse privée d'amour familial, c'est une rencontre à l'âge de 28 ans à la sortie de la cathédrale St Jean à Lyon et alors qu'il était au fond du trou qui va bouleverser sa vie.
" J'aurais pu finir SDF ou me suicider si je n'avais pas été aidé par des hommes et par le Seigneur en qui j'ai fait confiance".

Christian BRAILLY a 64 ans et il est frère franciscain à Avignon.
Après une jeunesse douloureuse tant dans son univers familial que scolaire, c'est une rencontre à l'âge de 28 ans à la sortie de la cathédrale St Jean à Lyon et alors qu'il se sentait au fond du trou qui va bouleverser sa vie.
"Ma mère ne m'a jamais dit "je t'aime" et j'en souffre encore aujourd'hui. Mais je réalise à présent qu'elle s'est démenée pour nous et que ça voulait probablement dire "je t'aime".

Emmanuel LUC a 56 ans. De sa passion pour le cinéma ressentie dès l'enfance il en a fait son métier.
Après 20 ans passés dans le groupe Pathé un peu partout dans l'hexagone, il s'est lancé en 2009 aux côtés d'un investisseur indépendant dans l'aventure d'une création d'un nouveau multiplexe de 11 salles à Avignon Nord : le Capitole Studio dont il est depuis le directeur.

"Je n'aime pas construire des projets d'avenir pour moi-même ; mais il me semble important de rester droit sans tomber dans la facilité, et sans me laisser contaminer par des choses qui n'aident pas à faire avancer la vie. »

Emmanuel LUC a 56 ans. Il a porté la construction du Capitole Studio au Pontet en 2009 avant d'en devenir le directeur en 2010 dès son ouverture.
Il dirige toujours ce multiplexe de 11 salles avec une passion pour le cinéma qui lui reste chevillée au corps depuis son adolescence.

" Mon père avait su me communiquer alors que j'étais encore enfant l’envie de réussir dans une entreprise, avec une hiérarchie qui serait fière de moi et avec des salariés qui me soutiendraient."