
Dialogue
Mieux comprendre le monde, dans lequel nous sommes invités à vivre en chrétiens, grâce aux travaux des historiens, des sociologues et des artistes ainsi qu’à travers la réflexion philosophique. C'est ce que vous proposent Monserrata Vidal et Sarah Brunel.
Episodes
3 mars 2025Passage et présence de Simone Weil 2/2
"Simone Weil est le seul grand esprit de notre temps", a écrit Albert Camus. Durant sa courte vie, elle est morte à l'âge de 34 ans, la philosophe a connu tous les effondrements du XXe siècle. Sa pensée n'en fini pas de rayonner aujourd'hui. Pour en parler, Monserrata Vidal reçoit Jean-Marc Ghitti, auteur de "Passage et présence de Simone Weil. État des lieux" (éd. Kimé) et Pascal David, à qui l'on doit la présentation d'un texte de Simone Weil, "Luttons-nous pour la justice ? Manuel d'action politique" (éd. Peuple libre, 2017).Droits image: Simone Weil ©Wikimédia commons
24 février 2025Passage et présence de Simone Weil 1/2
"Simone Weil est le seul grand esprit de notre temps", a écrit Albert Camus. Durant sa courte vie, elle est morte à l'âge de 34 ans, la philosophe a connu tous les effondrements du XXe siècle. Sa pensée n'en fini pas de rayonner aujourd'hui. Pour en parler, Monserrata Vidal reçoit Jean-Marc Ghitti, auteur de "Passage et présence de Simone Weil. État des lieux" (éd. Kimé) et Pascal David, à qui l'on doit la présentation d'un texte de Simone Weil, "Luttons-nous pour la justice ? Manuel d'action politique" (éd. Peuple libre, 2017).Droits image: Simone Weil ©Wikimédia commons
3 février 2025A travers le judaïsme : Buber, Levinas et Simone Weil 1/2
Le rapport à l’autre, à soi, à l’identité traverse la pensée de philosophes comme Martin Buber, Emmanuel Levinas ou Simone Weil. Comment concevaient-ils le judaïsme ? Comment ont-ils défendu ou non le sionisme ? Philosophe spécialiste de la phénoménologie, Jean-Marc Ghitti, auteur de "À travers le judaïsme - Buber, Levinas, Simone Weil" (éd. Kimé, 2024), nous invite à une méditation sur la condition juive et le destin du sionisme.
Droits image: Juifs de l'ancien Yichouv, 1895 ©wikimedia commons
27 janvier 2025La part des femmes 2/2
Des siècles de christianisme ont répandu l'idée étrange que le mal était entré dans le monde par la faute d'une femme. On a ainsi occulté des figures féminines remarquables de la Bible. Sylvaine Landrivon nous invite à revisiter la lecture de l'Ancien et du Nouveau Testament et nous montre qu'au contraire ils ne justifient pas les structures patriarcales de l'Eglise.Droits image: ©RCF
20 janvier 2025La part des femmes 1/2
Des siècles de christianisme ont répandu l'idée étrange que le mal était entré dans le monde par la faute d'une femme tandis que des figures majeures de la Bible ont été occultées ou noircies.Quels biais de lecture ont présidé à telles interprétations des Ecritures justifiant ainsi les structures patriarcales de l'Eglise? Sylvaine Landrivon nous montre au contraire que le Nouveau et l'Ancien Testament ivitent au contraire à une pleine égalité entre les femmes et les hommes.Droits image: ©RCF
30 décembre 2024S'adresser aux "simples gens" du Moyen Âge : transmettre le message chrétien (1/2)
Les religions de l'Antiquité, comme le paganisme romain, étaient des religions civiques qui exigeaient que l'on se conforme aux rites. À l'inverse, le christianisme exige une adhésion personnelle, une conversion du cœur. Ainsi, pour l'assoir comme religion officielle à partir de Constantin, il a fallu parler à tous : non seulement aux savants mais aussi aux "simples". C'est ce que nous explique l'historien médiéviste Michel Zink, professeur au Collège de France, auteur de "Parler aux « simples gens » - Un art médiéval" (éd. Cerf, 2023).
Droits image: Le tympan de l'abbatiale Sainte-Foy de Conques ©Wikimédia commons
11 novembre 2024La religion a-t-elle un avenir ? (1/2)
Les violences extrêmes d'une part, les différentes formes d'emprise d'autre part, jettent le discrédit sur les religions. Si celles-ci n'ont pas bonne presse, que serait sans elle la spiritualité ? Les critiques sont nombreuses et parfois bien étayées à l'encontre de l'Église, de la tradition, des institutions religieuses. Mais ne sont-elles pas nécessaires pour éviter les dérives, les sectarismes et les flambées irrationnelles ? Dans son "Éloge de la religion" (éd. Salvator, 2002), le philosophe Paul Valadier, prêtre jésuite, plaide pour un bon usage de la religion.Droits image: Bénédiction Urbi et Orbi, le 17/04/2022, place Saint-Pierre, Vatican ©Martin Bertrand / Hans Lucas
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