« La chute de Vencorex est en partie de la faute d'Arkema », affirme une salariée, élue CGT
Quel avenir pour l'entreprise Vencorex ? Une audience au Tribunal de commerce de Lyon prévue le 6 mars doit statuer sur l'éventuelle reprise partielle de l'entreprise Vencorex auprès son concurrent chinois. Une reprise d'une cinquantaine de salariés, bien loin des espérances des syndicats et des 450 personnes employées aujourd'hui par le fabricant de produits chimiques. Un dossier complexe, dans lequel les salariés souhaitent une nationalisation temporaire, qui est monté jusqu'à l'Hôtel de Matignon, sur le bureau de François Bayrou. Séverine Dejoux, technicienne-chimiste, élue CGT au CSE de l'entreprise est l'invité de Grégoire Gindre.
20 février 2025
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