Le reportage de la semaine RCF - page 8

Dans le Sud du Tarn, l'industrie du délainage et celle du textile ont marqué l'histoire et l'économie locales. A quelques kilomètres de Mazamet, la ville de Labastide Rourairoux a longtemps été l'un des hauts lieux du tissage. Nous vous proposons cette semaine de découvrir le musée du textile avec Arnaud Malabre, directeur du musée et Marjorie Puzel guide.

Dans le Sud du Tarn, l'industrie du délainage et celle du textile ont marqué l'histoire et l'économie locales. A quelques kilomètres de Mazamet, la ville de Labastide Rourairoux a longtemps été l'un des hauts lieux du tissage. Nous vous proposons cette semaine de découvrir le musée du textile avec Arnaud Malabre, directeur du musée et Marjorie Puzel guide.

Les bénévoles, âme du festival

Ce qui fait la réussite de cet évènement c'est aussi et surtout les bénévoles. Ils sont plus de 160 a se mobiliser pour faire tourner la boutique, en plus des techniciens et prestataires. C'est eux qui font aussi l'âme du festival, basé sur l'humain, la bienveillance et la rencontre.

*ENRO*

C'était la 38ème édition du Festival de l'Eté de Vaour. Et si vous en voulez plus, l'équipe technique de l'association se rend à Carmaux les samedi 14 et dimanche 15 septembre. Elle est en charge du festival Nect'art autour du cirque et des arts de rues, au parc du candou.

Expérimenter

Pour la première fois au Festival de Vaour, est programmé cette année du rap. Et c'est le groupe toulousain Galim Atias qui a l'honneur d'ouvrir la voie aux prochains. Les 5 membres du groupe composent et écrivent leurs chansons en mêlant le hip-hop et le jazz.

*ENRO*

Demain, suite et fin de notre reportage à Vaour. On ira voir du côté des bénévoles, l'âme de ce festival.

Le Festival de Vaour c'est aussi de la musique. Deux concerts par jours pour être exacte. Une bande son originale, locale et surtout militante. Direction la scène montée pour l'occasion à côté de l'église. Ouverture de la soirée avec le groupe Cocanha, 100% occitan, une première à Vaour pour le duo.

La place des artistes

L'Eté de Vaour c'est une vingtaine de spectacles sur une semaine, répartis sur plusieurs lieux. La cour de l'école, le théâtre de la commanderie, le chapiteau du stade, enfin, le chapiteau découverte, dans la prairie. Autant d'ambiances différentes qui permettent une programmation diversifiée. Ici, on s'installe dans la cour de l'école pour assister au spectacle Crâsse, de la compagnie Quand les Moules auront des Dents.

*ENRO*

Demain, suite de la déambulation à Vaour. On parlera musique et terroir.

Pour et par les locaux, vers l'infini et au-delà

A l'année, le village de Vaour compte 400 habitants. Pendant une semaine de festival, plus de 15 000 personnes en arpentes les ruelles. On compte alors quelques 3 000 festivaliers par soirs. Mais ça n'a pas toujours été le cas. Retour sur l'histoire du festival et sur ce qui marche à travers les yeux du public.

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Suite du reportage demain, sur l'une des scènes du festival, où là aussi, on brise le 4ème mur.

A l'année, le village de Vaour compte 400 habitants. Pendant une semaine de festival, plus de 15 000 personnes en arpentes les ruelles. On compte alors quelques 3 000 festivaliers par soirs. Mais ça n'a pas toujours été le cas. Retour sur l'histoire du festival et sur ce qui marche à travers les yeux du public.

Cette semaine, Judith Perret vous propose d’embarquer à bord de la Ligne Aubrac entre Béziers et Millau. Depuis 150 ans, cette liaison ferroviaire relie tous les jours Béziers à Clermont-Ferrand, et dessert 22 gares dans des zones très rurales. Mais les coûts d’entretien et la baisse du nombre de voyageurs menacent encore le futur de cette ligne.

Toute cette semaine, Judith Perret vous propose d’embarquer à bord de la Ligne Aubrac entre Béziers et Millau. Depuis 150 ans, cette liaison ferroviaire relie tous les jours Béziers à Clermont-Ferrand, et dessert 22 gares dans des zones très rurales. Mais les coûts d’entretien et la baisse du nombre de voyageurs menacent encore le futur de cette ligne. Dernière étape aujourd'hui: Judith Perret nous emmène à la rencontre des jeunes usagers du Millau-Béziers

Toute cette semaine, Judith Perret vous propose d’embarquer à bord de la Ligne Aubrac entre Millau et Béziers Depuis 150 ans, cette liaison ferroviaire relie tous les jours Béziers à Clermont-Ferrand, et dessert 22 gares dans des zones très rurales. Mais les coûts d’entretien et la baisse du nombre de voyageurs menacent le futur de cette ligne. Mais elle peut compter sur ses défenseurs, comme ces deux voyageurs :

Toute cette semaine, Judith Perret vous propose d’embarquer à bord de la Ligne Aubrac entre Béziers et Millau. Depuis 150 ans, cette liaison ferroviaire relie tous les jours Béziers à Clermont-Ferrand, et dessert 22 gares dans des zones très rurales. Mais les coûts d’entretien et la baisse du nombre de voyageurs menacent le futur de cette ligne. Pourtant, ils sont plusieurs milliers à l'emprunter chaque jour. Aujourd'hui on part de Millau pour revenir à Béziers. Mais à bord on rencontre du monde...

Toute cette semaine, Judith Perret vous propose d’embarquer à bord de la Ligne Aubrac entre Béziers et Millau. Depuis 150 ans, cette liaison ferroviaire relie tous les jours Béziers à Clermont-Ferrand, et dessert 22 gares dans des zones très rurales. Mais les coûts d’entretien et la baisse du nombre de voyageurs menacent le futur de cette ligne. Pourtant, plusieurs milliers d’usagers l’utilisent au quotidien. Et même si les trajets sont parfois longs, on trouve toujours comment s'occuper dans ce train...

Toute cette semaine, Judith Perret vous propose d’embarquer à bord de la Ligne Aubrac entre Béziers et Millau. Depuis 150 ans, cette liaison ferroviaire relie tous les jours Béziers à Clermont-Ferrand, et dessert 22 gares dans des zones très rurales. Mais les coûts d’entretien et la baisse du nombre de voyageurs menacent le futur de cette ligne. Pourtant, plusieurs milliers d’usagers l’utilisent au quotidien, des habitués, mais pas seulement : prendre la ligne Aubrac, c’est parfois une grande première :

Dans le Tarn, Crystele Gourjade a repris la ferme de ses parents il y a presque 1 an.
Un nouveau projet pour cette jeune agricultrice qui s'est lancée dans l'élevage de chèvres Angora.
La ferme Mohair de Gourjade, c’est aussi une ferme pédagogique et une ligne de vêtements en laine angora!
Tout de suite nous partons en visite à la ferme à Saint Jean de Vals non loin de Castres.

Dans le Tarn, Crystele Gourjade a repris la ferme de ses parents il y a presque 1 an.
Un nouveau projet pour cette jeune agricultrice qui s'est lancée dans l'élevage de chèvres Angora.
La ferme Mohair de Gourjade, c’est aussi une ferme pédagogique et une ligne de vêtements en laine angora!
Tout de suite nous partons en visite à la ferme à Saint Jean de Vals non loin de Castres.

Mende plage, c’est reparti !!!
Pour la 7ième édition, Mende Plage revient au parc de Wunsiedel. Les mendois et les touristes pourront aller se rafraichir au bord du Lot.
Mende Plage, c'est du 05 juillet au 27 août.
Présentation avec Betty Zampiello.

Dans le Tarn, Crystele Gourjade a repris la ferme de ses parents il y a presque 1 an.
Un nouveau projet pour cette jeune agricultrice qui s'est lancée dans l'élevage de chèvres Angora.
La ferme Mohair de Gourjade, c’est aussi une ferme pédagogique et une ligne de vêtements en laine angora!
Tout de suite nous partons en visite à la ferme à Saint Jean de Vals non loin de Castres.

Dans le Tarn, Crystele Gourjade a repris la ferme de ses parents il y a presque 1 an.
Un nouveau projet pour cette jeune agricultrice qui s'est lancée dans l'élevage de chèvres Angora.
La ferme Mohair de Gourjade, c’est aussi une ferme pédagogique et une ligne de vêtements en laine angora!
Tout de suite nous partons en visite à la ferme à Saint Jean de Vals non loin de Castres.

On continue dans notre reportage de la semaine, la présentation de l'Aïga : La monnaie locale pour le territoire Causses-Cévennes. Cette monnaie locale favorise les échanges locaux et depuis la fin de l'année 2023, cette monnaie existe aussi en format numérique. Daniel Belon, représentant légal de la monnaie locale : l’Aïga nous en dit plus au micro Jean-Claude Astruc