Chaque semaine sur RCF Anjou Thomas Cauchebrais prend de la hauteur avec des universitaires, des conférenciers, des écrivains, des aventuriers, des politologues, pour mieux décrypter la complexité de notre monde sur des sujets de société.
Avec le motu proprio « Traditionis custodes » en 2021, qui sera confirmé ensuite par « Desiderario Desideravi » un an plus tard, le pape François a drastiquement restreint la célébration des messes sous la forme extraordinaire du rite romain. C’est-à-dire la messe en latin comme elle était célébrée avant la réforme du concile Vatican II. Une décision qui avait choqué un grand nombre de fidèles, traditionalistes ou non, soufflant sur les cendres –au risque de le raviver- d’un conflit liturgique pourtant éteint par son prédécesseur Benoît XVI. Pour tenter de comprendre cette décision inattendue du pape, à rebours de ses habituels propos sur la bienveillance et l’ouverture au sein même de l‘Eglise, nous recevons Laurent Dandrieu, journaliste spécialiste des questions religieuses pour le magazine Valeurs Actuelles et auteur de plusieurs livres sur le pape François.
Comment est analysée la toxicité des pesticides utilisés dans l’agriculture ? Uniquement sur la substance active et non sur la formulation complète du pesticide qui s’est vu rajouter, au cours de son élaboration, de nombreux coformulants lui permettant de franchir plus facilement les barrières naturelles du végétal. C’est donc un changement des pratiques d’homologation des pesticides que demandent certains lanceurs d’alerte dont notre invité aujourd’hui : le Dr Pierre-Michel Périnaud, médecin généraliste et président de l’association Alertes médecins sur les pesticides. De passage à Murs-Erigné pour une conférence organisée dans le cadre du tour de France citoyen « Secrets toxiques », il a accepté de répondre aux questions de Thomas Cauchebrais
Aperçu dans le film « Sacerdoce », sorti sur les écrans en 2023, le Père Matthieu Dauchez rentre une fois par an en France. En conférence à Angers pour parler de résilience à travers son expérience au service des enfants des rues des Philippines, le père Matthieu Dauchez a répondu aux questions de Thomas Cauchebrais pour RCF Anjou.
« Nous sommes en guerre : pas de smartphone avant le lycée ! » Tel devrait être le slogan d'une lutte efficace contre la pandémie pornographique qui frappe les enfants depuis le début du millénaire. Car il y a urgence à ouvrir les yeux des parents et des pouvoirs publics, pour qu'ils prennent la mesure du phénomène de la cybersexualité et de ses effets délétères sur les plus jeunes. Dans le livre « Le cyber sexe, ce virus qui tue l'enfance » qui vient de paraitre au éditions Artège, ses auteurs alertent sur ce grave sujet de société. L'un d'entre eux, Stéphane Blocquaux, docteur en Science de l'information et de la communication à l'UCO d'Angers est l'invité du Grand Entretien sur RCF Anjou et la chaîne Youtube de RCF Anjou.
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